Chroniques de Saint-Nazaire
blog sur l'histoire de Saint-Nazaire (44)
2024-03-13T00:26:02+01:00
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Porcé sur France Culture
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2023-10-13T15:41:14+02:00
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A l'heure où la municipalité nazairienne cherche à détruire le site de Porcé...
<p>A l'heure où la municipalité nazairienne cherche à détruire le site de Porcé en dégradant toujours le patrimoine qu'elle a sous sa garde, et en projetant des constructions et infrastructure irrespectueuses du site, avec une modification du trait de côte, Porcé, anciennement Port Ségurant, est mentionné par France Culture :</p><p><a href="https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-cours-de-l-histoire/segurant-le-chevalier-au-dragon-nouveau-venu-a-la-table-ronde-9174296" target="_blank" rel="noopener">https://www.radiofrance.fr/franceculture/podcasts/le-cours-de-l-histoire/segurant-le-chevalier-au-dragon-nouveau-venu-a-la-table-ronde-9174296</a></p><p> </p><p> </p>
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Le Phare du Grand Charpentier
tag:saint-nazaire.hautetfort.com,2023-09-15:6461417
2023-09-15T01:18:39+02:00
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Construit sur le plateau rocheux de l'écueil des Charpentiers, par 47° 12'...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Construit sur le plateau rocheux de l'écueil des Charpentiers, par 47° 12' 50" latitude Nord et 4° 39' 21" longitude Ouest, le Phare du Grand Charpentier est inscrit au titre des monuments historiques depuis le 22 novembre 2011. C’est le seul phare classé de la commune de Saint-Nazaire, les municipalités successives n’ayant jamais entrepris de demande de classement de ceux qu’elle a acquis au titre de la Ville ou de la CARENE, avec les conséquences que nous savons (Ne travaillant pas pour la Ville de Saint-Nazaire, et rappelant que ce blog est une initiative privée remontant à 2012, je saurais gré au lecteur de ne pas transformer les commentaires de ce blogue en chambre de protestation et de se plaindre directement au ministère de la Culture).</span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;"><a id="media-6475210" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/3591988261.jpg"><br /><img id="media-6475211" style="margin: 0.2em auto 0.7em; display: block;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/3591988261.jpg" alt="saint-nazaire, phare, Charpentiers" /></a></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Le Grand Charpentier en 1907</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">(Saint-Nazaire, son port et son commerce, publication de la Société de Géographie Commerciale)</span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;"><a href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/00/1296791160.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-6475212" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/00/3698615540.jpg" alt="grand-charpentier, charpentier, saint-nazaire" /></a></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">(cliquer pour agrandir)</span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Le phare du grand Charpentier est au milieu des flots de la Loire et de l’Atlantique. Avant sa construction, plusieurs projets et structures ont existé. Un projet daté du 28 juillet 1808, dû à l’architecte nantais Mathurin Crucy (1849-1826), prévoyait une structure pyramidale. Napoléon était au pouvoir, et il était de bon ton de flatter le dictateur en lui proposant des choses qui rappelaient sa campagne d’Egypte. Napoléon Ier, en visite à Nantes du 8 au 10 août 1808, poussa jusqu’au l’embouchure de l’Estuaire. Il projetait un grand port militaire à construire à Saint-Nazaire. Il fallut attendre l’année 1826 pour qu’une balise en fer soit construite à l’emplacement du phare, remplacée en 1850 par une tourelle en pierre, qui fut éventrée par une tempête en 1877 réparée, elle fut à nouveau détruite en novembre 1887. Il faut cependant signaler qu’il était prévu depuis le 7 mai 1884 de procéder à son remplacement.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Les Ponts et Chaussées étaient alors en charge des phares et balises. Il fut décidé de remplacer la tourelle par une tour légèrement conique de 25 m 40 au-dessus du sol et à 23 m 30 au-dessus des hautes mers, avec un diamètre à la base de 11 m, et à l'assise de la corniche d’un diamètre de 5 m. 20, en maçonnerie de pierres lisses. La corniche porte une balustrade de pierres ajourées de 90 centimètres de hauteur.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Le phare était initialement équipé d’un foyer placé à 25 m, constitué d’un feu à incandescence par le pétrole, sur roulement à galets, à éclats blancs, rouges et verts toutes les 5 secondes dont les puissances et les portées lumineuses étaient les suivantes :</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Secteur blanc. - 3.500 becs Carcel. - 22 milles.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Secteur rouge. - 700 becs Carcel. - 18 milles.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Secteur vert. - 435 becs Carcel. - 17 milles.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Le feu est rouge du côté de la terre ; le vert, au sud-ouest ; le blanc en direction du chenal nord de l'entrée de la Loire. L’allumage a eu lieu le 16 janvier 1888.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">L’optique fut changée le 2 juin 1902, avec un feu à éclats toutes les 5 secondes, secteurs blancs, rouges et verts, avec renforcement du feu au pétrole qui alimenta la lumière par vapeur de pétrole.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Le 2 mars 1937, il fut procédé au remplacement de l'appareil de rotation sur galet par une rotation sur cuve de mercure, et en 1938 il y eut un renforcement du feu.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">L’alimentation du foyer nécessitait un ravitaillement par bateau, au cours de la relève, opération qui une fois tous les dix jours faisaient changer la moitié de l’équipe de gardiennage, constituée de deux hommes, qui demeuraient 20 jours chacun. On envoyait un baliseur dont une chaloupe était mise à la mer, puis dirigée vers le phare précédé d’une jetée détrempée par les vagues de 56 m de long. La porte du phare se situant à 4 m de hauteur, et n’étant accessible que par des barreaux, il fallait hisser à l’intérieur les vivres et le carburant de la lampe, tout comme le charbon du poêle des gardiens qui n’avaient que la pêche, la lecture et le maquettisme naval pour distractions. Un plan de coupe, dessiné par Charles Beilvaire, et reproduit dans le Courrier de Saint-Nazaire du 16 avril 1938, permet de comprendre les dispositions intérieures, composées dans le pied d’un magasin, salle étanche destinée à la conservation des provisions, au niveau de l’accès d’entrée d’un bac pour le pétrole, au premier étage d’habitation de la cuisine, de deux chambres au second et troisième, boisées, de la chambre de quart au quatrième, elle aussi boisée, et enfin de la lanterne qui avec sa machinerie occupe les deux derniers étages.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;"><img id="media-6475213" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/02/2887033896.jpg" alt="saint-nazaire, charpentiers, grand-charpentier" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Dessins de Charles Beilvaire</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Le Phare des Charpentiers ouvre le chenal de la Loire. Il fut éteint durant l’Occupation, et rallumé le 13 août 1945.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Il fut équipé en mars 1954 d’un poste émetteur-récepteur avec aérogénérateur Wind Power de 650w pour en charger les accumulateurs ; cet équipement avait été à l’origine prévu pour le phare de La Blanche en avril 1952. Son électrification fut faite le 13 juin 1966 par l’installation d’un câble électrique sous-marin de 3 000 W, avec en novembre la pose d’un feu électrique provisoire qui demeura en place jusqu’en août 1967, alors que s’achevait la construction d’une nouvelle lanterne avec une plateforme pour hélicoptère au-dessus. Le premier hélicoptère s’y posa le 9 septembre 1967. L’automatisation de sa lanterne fut assurée seulement en 1969, et des gardiens y furent maintenus jusqu’en 1972, alors que la suppression de leurs postes était décidée depuis 1961.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">La plateforme d’hélicoptère a été démontée en 1987.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">Le phare mesure actuellement 27, 35 m, il a une lanterne cylindrique à montants obliques SH, à deux niveaux de vitrage, un feu scintillant à 6 secteurs blancs, rouges et verts, avec optique d'horizon de focale 0, 25 m. Sa lampe est à incandescence 150w sur changeur de lampe Siden, et sa portée 14 milles.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;"><img id="media-6475215" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/00/496485233.jpg" alt="ivn00_20044409586nuca_p.jpg" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">le Grand Charpentier en 2004, photographie de Francis Dreyer, © Ministère de l'équipement, Bureau des phares et balises ; © Ministère de la culture.</span></p><p> </p>
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Marthe Barbance
tag:saint-nazaire.hautetfort.com,2023-07-15:6452320
2023-07-15T08:39:02+02:00
2023-07-15T08:38:00+02:00
Marthe Barbance est l’autrice d’une thèse sur la Ville et le Port de...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6461864" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/4078510955.jpg" alt="Marthe Barbance" width="250" height="330" />Marthe Barbance est l’autrice d’une thèse sur la Ville et le Port de Saint-Nazaire, ainsi que d’un ouvrage sur la Compagnie Générale Transatlantique, qui sont des références pour toutes les personnes s’intéressant à l’histoire nazairienne. Sa thèse est la seule référence concernant de nombreux détails issus des archives détruites en 1943. Mais étrangement, Marthe Barbance demeure une inconnue pour les Nazairiens.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Née Marie Marthe Margueritte Gravelet, le 14 avril 1902 au Noyer, dans le département du Cher, elle était la fille de Jules Gravelier, est commis des contributions indirectes à Margny lès Compiègne, et d’Adèle Eglantine Blin, issue d’une famille d’agriculteurs du Noyer.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-6461871" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/01/1899192102.jpg" alt="2023-06-14 (12).jpg" /></p><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; text-align: justify;">Marthe passa son enfance à Margny lès Compiègne.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Après des études de lettres et d’histoire, Marthe devint professeur déléguée en histoire et géographie au collège de garçons de Châteauroux. Elle y rencontra en septembre 1928 Irénée Baptiste Barbance, nouvellement nommé professeur de mathématiques<a style="color: #000000;" href="#_ftn1" name="_ftnref1">[1]</a>, né à La Salvetat-Peyralès, en Aveyron, le 22 février 1901, fils d’un hôtelier et d’une institutrice.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Marthe et Baptiste s’unirent au Noyer le 11 septembre 1929, et vécu à Châteauroux où naquit en 1931 Jean Claude Alain<a style="color: #000000;" href="#_ftn2" name="_ftnref2">[2]</a>.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">En 1934 le couple fut muté au collège de garçons de Saint-Nazaire, et emménagea boulevard Gambetta. Marthe devait y remplacer mademoiselle Vincent, autre enseignante qui marqua les Nazairiens, alors nommée à Gap. Elles demeurèrent cependant un an sur le même poste, car Marthe était enceinte de Monique en février 1935. La famille démangea au 25 rue de La Havane.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-6461865" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/4154928520.jpg" alt="2023-06-14 (11).jpg" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Le 9 août 1936, alors qu’elle venait d’apprendre qu’elle était admissible à l’agrégation en lettres section historique, Marthe entra en collision au volant de sa voiture avec le martin à 6h45, rue du Loquidy, avec Pierre Leroy, 28 ans, demeurant à la chapelle sur Erde, à la Berangerais, accident, ce qui lui vaudra un entrefilet dans l’Écho de la Loire du 10 août 1936.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Août 1937, Marthe fut reçue docteur ès lettres en histoire et géographie à Rennes, sur présentation de la thèse intitulée : <em>Saint-Nazaire, le Port, la Ville, le Travail</em>.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Le 19 septembre 1938 naquit sa seconde fille, Christiane Solange Jeanne, que la presse salua le 23 septembre<a style="color: #000000;" href="#_ftn3" name="_ftnref3">[3]</a>.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">A la déclaration de guerre, Baptiste fut mobilisé comme lieutenant au 35e Régiment d’Artillerie à Vannes. Fait prisonnier, il fut envoyé en camp à Lienz en Autriche le 17 juin 1940.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Elle devait débutée en septembre 1941, Marthe au collège de filles de Saint-Nazaire, comme professeur d’histoire de 4e et 3<sup>e</sup>, mais ayant trouvé refuge en zone libre chez ses beaux-parents à Villefranche-de-Rouergue, elle obtint d’être nommée au collège de fille de Moulins en novembre 1942.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Baptiste, après avoir été déplacé à Wagna en 1943, puis à Nienburg en 1944, fut libéré le 16 avril 1945. Rentré en France, il partit rejoindre son épouse à Moulins, où il obtint lui aussi un poste de professeur de mathématiques à Moulin au collège de garçon. Admissible à l’agrégation de mathématiques en décembre 1945, il fut en congé d’agrégation entre 1945 et 1948.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Marthe fut nommée officier d’Académie en juillet 1947. Désireuse de faire publier sa thèse, elle sollicita la Chambre de commerce de Saint-Nazaire pour une souscription ; La Chambre de commerce prit 50 exemplaires à 250 fr. Le livre, d’abord annoncé de 528 pages, fut édité à 638 pages en raison de sa préface et de son avant-propos, au prix de 700 fr, par l’éditeur Crépin Leblond à Moulins en 1948. En 1949, toujours chez le même éditeur, Marthe publia une étude consacrée à la chapelle de la confrérie des Pénitents noirs de Villefranche-de-Rouergue.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Entre-temps Baptiste réussit le concours de 1948 et se trouve nommé au lycée de garçons Jacques Decour à Paris où il enseigna jusqu’à sa retraite en 1966. Marthe obtint alors d’être nommée au lycée Jules Ferry à Paris. Ils emménagèrent à Villemomble, puis au 22 rue du Delta à Paris 9<sup>e</sup>, quand Marthe fut nommée professeure en classe préparatoire au lycée Victor Duruy.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Par arrêt du 20 novembre 1951, Marthe fut maintenue en position de détachement auprès du directeur du G. N. R. S. pour une période d’un an, à compter du 1er octobre 1950, en vue d’effectuer des travaux de recherches.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">En 1955, elle publia <em>Histoire de la Compagnie Générale Transatlantique </em>», que lui a commandée la Compagnie.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Membre du SNALC (Syndicat national autonome des lycées et collèges), en 1957, Baptiste en devint le président le 23 mars 1961 jusqu’à sa retraite de l’enseignement en 1966. Il fit retirer le mot de collège du nom du syndicat afin de tenir compte des « <em>nouvelles dénominations d’établissements</em> ». Jugé trop proche du ministère, il vit son rapport moral, lors du congrès de 1966, rejeté par la commission exécutive (pour 11 voix, contre 20, blancs et nuls 4). Il fut alors remplacé par Gérard Simon (voyez sa notice par Jean-Christophe Vayssette sur Metron).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">En 1969, Marthe publia : <em>Vie commerciale de la route du cap Horn au XIXe siècle</em>.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Baptiste décéda le 12 novembre 1981 à l’hôpital de Lariboisière à Paris 10. </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-6461869" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/02/1023147565.jpg" alt="2023-06-14 (10).jpg" /></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Marthe décéda dans le même hôpital le 21 décembre 1983. Ils sont inhumés Villefranche-de-Rouergue.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><img id="media-6461867" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/00/4178306900.png" alt="2023-06-14 (10).png" /></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><a style="color: #000000;" href="#_ftnref1" name="_ftn1">[1]</a> 1929 Irénée Baptiste BARBANCE fut étudiant en mathématiques spéciales. Diplômé de la Faculté des sciences de Toulouse en mathématiques générales et de mécanique rationnelle en 1920, en physique générale, astronomie, calcul différentiel et intégral en 1925. Après avoir été maître d’internat au lycée de Toulouse durant l’année scolaire 1924-1925, il effectua son service militaire à l’Ecole d’artillerie de Poitiers, puis à Haguenau. Répétiteur au collège de Bagnères-de-Bigorre durant l’année 1925-1926. Engagé dans l’artillerie à Rodez, il réussit les épreuves du brevet de préparation militaire supérieur en octobre 1925, il fut sous-lieutenant d’artillerie de réserve par décret publié le 14 mai 1926. Il devint professeur au collège de Sancerre, puis répétiteur au lycée Lakanal de Sceaux en 1927-1928.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><a style="color: #000000;" href="#_ftnref2" name="_ftn2">[2]</a> Jean-Claude Alain Barbance, fit Polytechnique et a eu quatre enfants.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><a style="color: #000000;" href="#_ftnref3" name="_ftn3">[3]</a> Christiane Solange Jeanne Barbance est décédée à Toulouse le 10 décembre 2015.</span></p>
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Cimetière de La Briandais
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2023-05-09T21:31:00+02:00
A l’occasion du 8 e Printemps des cimetières, la Mission des Patrimoines...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">A l’occasion du 8<sup>e</sup> Printemps des cimetières, la Mission des Patrimoines de la Ville de Saint-Nazaire organise une visite découverte du cimetière de La Briandais le samedi 13 mai 2023 de 14h30 à 16h, et de 16h30 à 18h, (visite gratuite sur réservation <a style="color: #000000;" href="https://my.weezevent.com/visite-du-cimetiere-de-la-briandais">https://my.weezevent.com/visite-du-cimetiere-de-la-briandais</a> )</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">J’ai eu l’occasion de guider plusieurs d’entre vous dans ce cimetière et depuis onze ans qu’existe ce blog, j’ai plusieurs fois mentionné ce cimetière qui est le lieu de sépulture de l’élite nazairienne.</span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">La Mission des Patrimoine n’aura pas la possibilité d’aborder l’aspect biographique de façon approfondie du cimetière de La Briandais, aussi, est-il convenu que certains éléments seront publiés aujourd’hui sur ce blog.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Je tiens à remercier madame Beatrix Guillet avec qui j’ai plusieurs fois arpenté le site à la recherche de la sépulture de telle ou telle personnalité, et avec qui nous avons identifié des tombes que le temps rend anonymes.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Ne disposant pas d’un plan du cimetière, malgré des demandes répétées, il ne nous a pas été possible à l’heure actuelle de pouvoir situer les tombes pour le lecteur.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Rappel historique :</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Le cimetière de La Briandais fut ouvert en 1858 après une acquisition et des travaux débutés en 1856 et qui coutèrent 20.000 francs et agrandit en mars 1886 pour la somme de 3.000 francs (avec 3.00 francs supplémentaire de travaux de maçonnerie). On vida progressivement l’ancien cimetière de La Porterie, situé à l’entrée du Boulevard de la Légion d’Honneur, que la construction du port obligeait la destruction<a style="color: #000000;" href="#_ftn1" name="_ftnref1">[1]</a>. Au bout de la grande allée que le visiteur découvre en entrant, se trouve la Croix de Saint-Nazaire, datant du 15<sup>e</sup> siècle. Cette croix était initialement au niveau de la rue du Bois Savary. Les bateaux entrant dans l’estuaire vidaient leurs canons de leur poudre avant d’attendre les structures portuaires de Paimboeuf et de Nantes en tirant la salve à la terre devant cette croix. A la création du cimetière de La Porterie, elle fut déplacée dans ce cimetière, puis elle fut déménagée dans celui de La Briandais en 1856, mais ne fut remontée qu’en 1890 sur l’intervention du peintre Charles Beilvaire (pour plus de détails : <a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2020/07/15/la-croix-de-saint-nazaire-6251757.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2020/07/15/la-croix-de-saint-nazaire-6251757.html</a> ).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Quelques monuments funéraires furent remontés après avoir été transporté du cimetière de La Porterie, comme celui de la famille Allançon, situé à gauche dans la grande allée, qui est la sépulture Jean-François Allançon, maire de Saint-Nazaire de 1794 à 1811. </span><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 16px;">En façade de ce caveau on remarquera la plaque de marbre sculptée qui comporte un sablier aillé et une face du Christ.</span></p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445785" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/600113833.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> Cependant, la majorité des corps déplacés de La Porterie ont été placés dans des sarcophages en pierre jaune tous identiques que le visiteur découvrira en plusieurs places. </span></p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445787" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/00/402324988.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Le visiteur trouvera ainsi à son entrée à gauche celui contenant les restes de Julie-Victoire-Rose Girard de La Cantrie, née Bonamy (Nantes 6 septembre 1755 - Saint-Nazaire 24 juin 1819), qui avait acquise l’ancien Prieuré de Saint Jean Baptiste de Saint-Nazaire, et dont le nom est devenu celui d’une à l’arrière de l’Hôtel de Ville (pour plus d’éléments : <a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2013/09/17/le-prieure-5168911.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2013/09/17/le-prieure-5168911.html</a> ).</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445786" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/73937361.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">La plus ancienne sépulture ouverte expressément à La Briandais est celle du capitaine Jean-Guillaume Küpper, qui fut le prier capitaine de gendarmerie de la Ville, décès en 1858 (plus de détails : <a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/12/22/jean-guillaume-kupper-6200196.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/12/22/jean-guillaume-kupper-6200196.html</a> )</span></p><p> </p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445748" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/01/1564961520.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">La nappe phréatique affleurant à 1m30, nombre des sépultures sont des enfeus. Ceux-ci sont généralement en ciment coffré de façon à imiter la pierre. Du fait de cet affleurement, le cimetière servit aux expériences du système Coupry, (du nom des architectes nantais, père et fils, à l’origine du projet), un procédé visant à la décomposition des corps sans affecter la nappe phréatique en terrain argileux. Dix-huit fosses avec système de drainage furent creusées à 2 m de profondeur, et emplies de corps d’indigents non réclamés par leurs familles. Dans le terrain voisin, on enterra les cadavres de 8 moutons (4 dans une fosse classique ; 4 dans une fosse système Coupry - l'aratoire était proche, à l'emplacement de la place des 8 et 11 mai 1945). De six mois en six mois en procéda à l’ouverture des fosses pour observer les résultats. Ainsi, le 29 mai 1890, dix médecins et quatre ingénieurs vinrent observer les résultats de l’expérience (<a style="color: #000000;" href="https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5461413x.texteImage">https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5461413x.texteImage</a>). Le 13 mai 1893, le gardien trouva devant le portillon un sac contenant un squelette de cabinet médical, dont on n'a jamais su de chez quel médecin de la ville il venait... Plus grave, le soir du 2 octobre 1901, le gardien, monsieur Berthaud, faisant sa ronde, trouva une boîte contenant dans du papier jaune le corps d’un nourrisson mort de négligence. L’enquête dévoila que l’enfant était le fils d’une femme appartenant à une troupe itinérante qui donnait des représentations cinématographiques<em>.</em></span></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Un monument aux morts se trouve dans le cimetière. Il fut élevé à l'origine pour les <em>Morts pour la Patrie de 1870-1871</em>, ce qui explique sa modestie et la présence des deux pots à feu devant. ces vase de fonte ne sont en effet pas destiné à recevoir des plantes, mais à contenir de la graisse qui devait bruler devant le monument.</span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-6447499" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/2113638515.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></p><p style="text-align: justify;"> </p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Le 14 octobre 1922, La Démocratie de l’Ouest dénonça le manque d’entretien du cimetière qui était dans un état alarmant. Certaines tombes disparaissaient sous les ronces. En fait, depuis la création du cimetière de Toutes aides, voisin, les inhumations étaient déjà restreintes, seules les vieilles familles nazairiennes y avaient leur concession. On constate durant l’entre deux guerres que els faires parts publiés dans la presse mentionnent que très rarement des dépôts de corps à la Briandais.</span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Le cimetière fut victime des bombardements qui visaient l'Usine à Gaz durant la Seconde Guerre mondiale, ce qui entraina la destruction d'une partie des sépultures et explique la trouée qui se trouve à gauche dans al grande allée, et aussi que certains enfeus soient réduits en élévation à leur base et à leur toit.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Durant l'année 1948, la maison de gardien du cimetière fut le siège du bureau en charge des dossiers de demande de transport aux frais de l'Etats des corps des victimes de guerre.</span></p><p> </p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong><em>Who’s who des résidents (liste non expositive et probablement lacunaire) :</em></strong></span></p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Les célébrités internationales :</strong></span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><table><tbody><tr><td width="203"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Pelletier</strong> Narcisse<strong> </strong>(1854-1894), marin naufragé abandonné par son équipage qui passa 17 années dans un clan aborigène ( <a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/09/22/narcisse-a-saint-nazaire-6177707.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/09/22/narcisse-a-saint-nazaire-6177707.html</a> ).</span></p></td><td width="396"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6445749" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/00/2344236487.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="252" height="354" /></span></td></tr><tr><td width="203"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445750" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/4272621194.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="187" height="250" /></span></p></td><td width="396"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Unsworth</strong> George<strong> </strong>(1862-1934), capitaine au long cours, héros et inventeur (<a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/05/05/george-unsworth-6148685.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/05/05/george-unsworth-6148685.html</a>)</span></p></td></tr><tr><td width="203"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445751" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/02/558388480.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="310" height="413" /></span></p></td><td width="396"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Griffon du Bellay</strong> Théophile<strong> </strong>(1829-1908), médecin explorateur (<a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/04/06/un-explorateur-a-saint-nazaire-6141851.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/04/06/un-explorateur-a-saint-nazaire-6141851.html</a>)</span></p></td></tr><tr><td width="203"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445752" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/538239006.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="302" height="403" /></span></p></td><td width="396"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Lera</strong> <strong>Macías</strong> Carlos Americo<strong> </strong>(1854-1926), diplomate mexicain qui débuta sa carrière à Saint-Nazaire et l’acheva auprès de l’empereur Nicolas II, ses fils furent tous aussi diplomates (<a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2021/07/18/les-lera-une-famille-de-diplomates-nazairiens-venus-du-mexiq-6327686.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2021/07/18/les-lera-une-famille-de-diplomates-nazairiens-venus-du-mexiq-6327686.html</a> )</span></p></td></tr><tr style="text-align: justify;"><td width="203"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445753" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/01/2831882527.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="307" height="409" /></span></p></td><td width="396"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Creston</strong> René Yves<strong> </strong>(1898-1964), ethnologue, peintre, initiateur du mouvement des Seiz Breur, il repose dans l’enfeu Labour-Creston (mentionné en bas sur la bande de granite)</span></p></td></tr><tr style="text-align: justify;"><td width="203"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445754" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/00/3697835390.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="303" height="404" /></span></p></td><td width="396"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Batillat</strong> André Laurent (1901-1965), architecte, co-fondateur du mouvement Seiz Breur, militant identitaire de la Nation bretonne, il repose dans le même caveau que ses parent et son épouse. Son père était juge au tribunal de Saint-Nazaire.</span></p></td></tr><tr style="text-align: justify;"><td width="203"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445755" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/01/1664238428.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="291" height="388" /></span></p></td><td width="396"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Marquet </strong>Georges (1868-1934),<strong> </strong>général, héros du Liban. L’enfeu en fort mauvais état, a été réalisé par son père Henri Marquet, sculpteur ornementiste de Viollet-le-Duc. Il y repose aussi son beau-frère le pharmacien Pierre Joudrin dont le portrait, peint par Alexis de Broca, est dans les collections municipales (<a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2020/09/17/le-general-marquet-6264087.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2020/09/17/le-general-marquet-6264087.html</a> )</span></p></td></tr></tbody></table><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Corps diplomatique nazairien :</strong></span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">(à propos des consulats nazairiens : <a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/04/08/consuls-et-vice-consuls-nazairiens-6142257.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/04/08/consuls-et-vice-consuls-nazairiens-6142257.html</a> )</span></p><table style="width: 93.5007%;"><tbody><tr><td style="width: 40.3514%;" width="302"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445876" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/1678845707.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="204" height="272" /></span></p></td><td style="width: 59.6511%;" width="302"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Blanco</strong> Rosendo-Appolinaire (Tapia provine d'Oviédo en Espagne 1842 - Saint-Nazaire 10 juillet 1903), consul en juillet 1895, veuf d'une demoiselle Flores, il épousa en secondes noces Philomène-Françoise Joly, il est inhumé dans l’enfeu de la famille Joly</span></p></td></tr><tr><td style="width: 40.3514%;" width="302"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445875" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/01/1038862785.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="201" height="268" /></span></p></td><td style="width: 59.6511%;" width="302"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Daguzan</strong> Eugène-Adrien-Jean, (Saint-Nazaire 26 décembre 1866 - 28 mars 1941 La Trinité sur Mer), chevalier de la Légion d'Honneur, agent maritime Compagnie Generale Transatlantique puis armateur, vice-consul des Pays-Bas de juillet 1895 à sa mort, vice-consul de Russie de 1916 à 1922, consul de Belgique septembre 1935 à sa mort.</span></p></td></tr><tr><td style="width: 40.3514%;" width="302"><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445874" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/01/2696945638.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="217" height="289" /></span></p></td><td style="width: 59.6511%;" width="302"><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><strong>Gustin-Stoll</strong> Henri-Urbain, (Chantenay juillet 1826 – 7 septembre 1890 Saint-Nazaire ), fournisseur de navires au quai de la Fosse à Nantes puis à Saint-Nazaire à l’angle des quais Wattier et du Commerce. Consul de Belgique en septembre 1886 jusqu’à sa mort.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><strong>Gustin-Stoll</strong> Henri-Joseph-Alfred, (Saint-Nazaire le 6 octobre 1860 - 11 février 1935 Nantes), chevalier de l'Ordre de Léopold, Officier de l'Ordre de la Couronne, Médaille Civique de 1ère classe, , chevalier de la Légion d’Honneur en 1905, négocient et agent maritime, agent maritime et négocient, associé à Adrien Daguzan ; consul de Belgique à la suite de son père en novembre 1890 jusqu’à sa mort.</span></p></td></tr><tr><td style="width: 40.3514%;" width="302"><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445873" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/00/2842714873.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="235" height="176" /></span></p></td><td style="width: 59.6511%;" width="302"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>La Touche</strong> Appolon-Aimé-Charles-Joseph (°Saint-Jean-des-Mauvrets 12 avril 1848), négociant commissionnaire d'importation, exportation, transitaire place des Bassins, officier de l'Ordre du Libérateur de Venezuela, consul du Guatemala, vice-consul de Danemark, ce qui le fit réceptionner durant la semaine maritime de 1908. le prince Axel de Danemark. Il fut aussi le président local des Hospitaliers-Sauveteurs bretons. Père de :</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">1°<strong> La Touche</strong> Gaston-Charles consul de la République dominicaine en 1910, consul du Portugal, Saint-Nazaire 2 mai 1881 - 26 janvier 1916 à Somme-Suippe), sous-lieutenant au 62ème régiment d'infanterie, mort pour la France de ses blessures.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">2°<strong> La Touche</strong> Max, (° Saint-Nazaire 26 juillet 1885 - 18 juillet 1963 La Baule-Escoublac), fils du précédent, vice-consul de Danemark en 1910, consul du Guatemala en 1911, du Portugal en 1917, de la République dominicaine en 1922.</span></p></td></tr><tr><td style="width: 40.3514%;"><p style="text-align: center;"><em><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Tombe disparue ?</span></em></p></td><td style="width: 59.6511%;"><p><span style="color: #000000; font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;"><strong><span style="background: white;">Mac-Intosh</span></strong><span style="background: white;"> S. A., vice-consul du Royaume-Uni en 1920, mort à Saint-Nazaire en mars 1927</span>.</span></p></td></tr></tbody></table><p> </p><p> </p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Célébrités et notabilités locales :</strong></span></p><table style="width: 99.4092%; height: 45404.4px;"><tbody><tr style="height: 360.469px; text-align: justify;"><td style="width: 43.9973%; height: 360.469px;" width="219"><p style="text-align: left;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong style="text-align: justify;">Acremann </strong><span style="text-align: justify;">Raymond Eugène Antoine (Commentry 9 janvier 1891 - 6 avril 1980 Saint-Nazaire), pharmacien. Quoique né dans l’Allier, sa famille était du Juras</span></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 360.469px;" width="385"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6445762" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/1858849204.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="208" height="278" /></span></td></tr><tr style="height: 346.344px; text-align: justify;"><td style="width: 43.9973%; height: 346.344px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445763" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/2045000966.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="198" height="264" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 346.344px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Albanel de La Sablière</strong>, famille noble dont plusieurs représentants furent chaudronniers aux chantiers.</span></p></td></tr><tr style="height: 409.938px; text-align: justify;"><td style="width: 43.9973%; height: 409.938px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445764" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/1732413512.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="245" height="327" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 409.938px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Allaire</strong> <u>René</u>-Julien-Ernest, caporal au 93<sup>e</sup> Régiment d’Infanterie (Saint-Nazaire 15 septembre 1897- 29 octobre 1917 Pargny-Filain), mort pour la France, médaille militaire et croix de guerre.</span></p></td></tr><tr style="height: 422.047px; text-align: justify;"><td style="width: 43.9973%; height: 422.047px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6445766" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/4193588279.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="254" height="339" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 422.047px;" width="385"><p style="text-align: left;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>André</strong> Constantin Victor Adrien, (Papeete 12 février1895 - Médaille Militaire et Croix de Guerre 1914-1918, domicilié à Saint-Nazaire, membre du groupe Front National depuis le 1er janvier 1943, F.T.P.F. à Saint Brévin l'Océan, interné en 1941 au camp de Châteaubriant, rapatrié en avril 1941, arrêté par la Gestapo à Saint Brévin le 11 août 1943, décédé au camp de Buchenwald le 4 décembre 1943. C’est un cénotaphe.</span></p></td></tr><tr style="height: 266.375px; text-align: justify;"><td style="width: 43.9973%; height: 266.375px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> <img id="media-6446388" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/01/411624172.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 266.375px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Aulnette</strong>, famille du commissaire-priseur François Aulnette possédant à partir de 1920 une salle des ventes et une entreprise de déménagement, (vendue plusieurs fois, la salle des ventes Aulnette est devenue une brocante-dépôt-vente). </span></p></td></tr><tr style="height: 266.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 266.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6447894" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/4141438888.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 266.375px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Aupiais</strong> Pierre Marie (Saint-Nazaire 20 août 1889 – 17 août 1917 Cour Soupir), 2<sup>e</sup> classe au 72<sup>e</sup> régiment d’Infanterie, mort pour la France tué à l’ennemi.</span></p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong> </strong></span></p></td></tr><tr style="height: 458.391px; text-align: justify;"><td style="width: 43.9973%; height: 458.391px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445767" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/01/2758430886.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="249" height="332" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 458.391px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Avenard </strong>Jean-René, (Escoublac 17 mars 1836 - 30 août 1909 Saint-Nazaire), débuta comme simple maçon et fonda une entreprise de travaux publics.</span></p></td></tr><tr style="height: 420.016px; text-align: justify;"><td style="width: 43.9973%; height: 420.016px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445768" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/723814903.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="253" height="337" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 420.016px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Bachelot-Villeneuve </strong>: on retiendra Ernest-Charles-Amédée Bachelot-Villeneuve (Rosières (Somme) le 6 juin 1840 - 25 janvier 1927 Saint-Nazaire), médecin, conseiller municipal en 1870, beau-père de l’écrivain Alphonse van Bredenbeck de Châteaubriant (<a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2012/07/28/notes-sur-la-famille-bachelot-villeneuve.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2012/07/28/notes-sur-la-famille-bachelot-villeneuve.html</a> ).</span></p></td></tr><tr style="height: 243.922px;"><td style="width: 43.9973%; height: 243.922px;"><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"> </span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 243.922px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Baudet</strong>, famille Adrien Baudet, constructeur de navire, né à Paimboeuf le 5 juillet 1842), qui avait hérité du chantier naval familial Sa fille, Delphine <strong>Baudet</strong> (Paimboeuf 24 octobre 1871 – 27 février 1957 Saint-Nazaire), était la présidente de la Goute de lait dont le bâtiment construit en 1937 se trouve au rond pont de Sauton.</span></p><p><span style="color: black;"> </span></p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong> </strong></span></p></td></tr><tr style="height: 447.297px;"><td style="width: 43.9973%; height: 447.297px;" width="219"><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445769" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/00/1589781121.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="249" height="332" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 447.297px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Be</strong></span><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>ilvaire</strong>, le caveau familial du peintre Charles Beilvaire abrite les restes de deux de ses fils morts pour la France, (<a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2014/12/08/charles-beilvaire-un-peintre-nazairien-oublie-5505901.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2014/12/08/charles-beilvaire-un-peintre-nazairien-oublie-5505901.html</a> )</span></p></td></tr><tr style="height: 358.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 358.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6446402" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/2689383932.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="249" height="332" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 358.375px;"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Bellec</strong>. Tombe des grand-parents des chanteurs Georges et André Bellec, membres du quatuor vocal « <em>Les Frères Jacques</em> ».</span></p></td></tr><tr style="height: 125.562px;"><td style="width: 43.9973%; height: 125.562px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 125.562px;"><p style="text-align: justify;"><span style="color: black; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong><span style="color: black;">Bernard</span></strong><span style="color: black;"> a</span>bbé Louis-Marie Bernard, décédé en mai 1927 à l'âge de 96 ans, curé attaché à la paroisse Saint-Nazaire. </span></p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong> </strong></span></p></td></tr><tr style="height: 491.719px;"><td style="width: 43.9973%; height: 491.719px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445770" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/01/2937426592.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="231" height="408" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 491.719px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Benoist </strong>Alcide (1829-1889), médecin qui fut celui de narcisse Pelletier, il fut très aimé des Nazairiens qui lui élevèrent son monument funéraire (médaillon de bronze par Georges Bareau, dont la ville possède une seconde version dans ses collections), sur une concession qui appartient à la Ville est qui est sous sa responsabilité. Sa maison existe encore rue du Bois-Savary (<a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/03/05/benoist-6133661.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/03/05/benoist-6133661.html</a> ).</span></p></td></tr><tr style="height: 409.938px;"><td style="width: 43.9973%; height: 409.938px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445771" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/01/2724702950.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="245" height="327" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 409.938px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Berger</strong> Prosper (mort en décembre 1892), pharmacien (mention ex-pharmacien) décembre 1892 . Son monument funéraire est en fait un enfeu qui a été rabaissé après avoir été endommagé par les bombes en 1943 (CF. l’enfeu Bernard-Simon à côté) ; cet enfeu avait été dessiné par l’architecte nazairien Julien Van den Broucke.</span></p></td></tr><tr style="height: 266.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 266.375px;"><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6447886" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/3514840957.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 266.375px;"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Berggren</strong> Marcel Alexandre Edouard (Rouen 22 mai 1882 – 29 septembre 1914 Fricourt), issu d'une famille norvégienne établie en 1890 à Saint-Nazaire, ajusteur aux chantiers, marié à une Nazairienne, Marguerite Guinet, caporal au 65<sup>e</sup> régiment d’Infanterie, mort pour la France tué à l’ennemi.</span></p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong><br /></strong></span></td></tr><tr style="height: 343.922px;"><td style="width: 43.9973%; height: 343.922px;" width="219"><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445772" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/1822178192.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="222" height="296" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 343.922px;" width="385"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Berra</strong> Fernand-Victor-Eugène (Nantes 1er février 1856 - 4 février 1898 Saint-Nazaire), était voilier rue des Sabres ; son fils Gustave-Georges-Eugène Berra (Saint-Nazaire 17 mars 1891 - 11 mai 1917 Trigny), soldat au 409e régiment d'Infanterie est mort pour la France à la suite de ses blessures.</span></td></tr><tr style="height: 266.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 266.375px;"><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6447872" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/00/1686539999.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 266.375px;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Bertho </strong>Augustin, officier mécanicien de la Marine marchande, mort pour la France en mai 1940, croix de guerre.</span></td></tr><tr style="height: 266.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 266.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6447895" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/109134155.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 266.375px;"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Bichon </strong>Victor Pierre Désiré (Frossay 24 janvier 1890 – 6 mai 1917 Plateau de Vauclerc), soldat au 123<sup>e</sup> régiment d’infanterie, mort pour la France tué à l'ennemi.</span></p></td></tr><tr style="height: 408.766px;"><td style="width: 43.9973%; height: 408.766px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6445757" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/01/1707202194.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="267" height="356" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 408.766px;"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Bochat famille. </strong>Ce très bel enfeu art-déco enluminé de mosaïques est d’une famille de charpentiers et menuisiers.</span></p></td></tr><tr style="height: 358.438px;"><td style="width: 43.9973%; height: 358.438px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445774" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/352629379.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="207" height="276" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 358.438px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Bodiguet</strong>, comandant E, (1888-1979), promotion promotion Mauritanie à Saint-Cyr (1908-1911).</span></p></td></tr><tr style="height: 461.422px;"><td style="width: 43.9973%; height: 461.422px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445775" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/1494098450.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="259" height="346" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 461.422px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Bord, Bord de Pierrefitte, et Sazerat. </strong>Cette chapelle, copiée sur un temple funéraire<strong> </strong>égyptien de l’époque ptolémaïque, a été réalisée avec le même granite et suivant les mêmes méthodes d’assemblage que ceux employés pour la construction du port. Alcide Bord, ingénieur des Ponts et Chaussées, entrepreneur en constructions publiques, propriétaire du château des Charmilles à Porcé (que les élus nazairiens ont réduit à l’état de ruines), a commandité la réalisation de cette chapelle qui est la plus grande concession funéraire de la commune. Y reposent, outre Alcide Bord (1827-1888), entre autres, son fils Gustave (1852-1934), qui fut le premier historien de Saint-Nazaire et bienfaiteur de la commune et de son hôpital, et son petit-fils Georges (1881-1941), qui fut chambellan du prince Louis II de Monaco. </span></p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Trois générations de Sazerat dont les restes furent rapporté en 1870 de la chapelle du manoir de Nexon reposent aux aussi dans la crypte.</span></p></td></tr><tr style="height: 431.141px;"><td style="width: 43.9973%; height: 431.141px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445776" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/00/2288199117.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="261" height="348" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 431.141px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Bregeot </strong>(<strong>de</strong>),<strong> </strong>famille noble de Lorraine qui fut à l’origine de la briqueterie de Saint-Nazaire (<a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2012/07/26/notes-sur-la-famille-de-bregeot.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2012/07/26/notes-sur-la-famille-de-bregeot.html</a> )</span></p></td></tr><tr style="height: 377.641px;"><td style="width: 43.9973%; height: 377.641px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445777" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/00/3977712764.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="221" height="295" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 377.641px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Bretéché</strong> Henri Alfred Marie (Saint-André-des-Eaux 28 février 1877 – 26 avril 1915 Tranchée de Calonne), étudiant, mort pour la France ; son fils Henri était épicier.</span></p></td></tr><tr style="height: 401.844px;"><td style="width: 43.9973%; height: 401.844px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445778" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/02/338206148.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="239" height="319" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 401.844px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Brichaux </strong>Louis (1909-1919), industriel des charbonnages et du pétrole, maire de<strong> </strong>1909 à 1919 (<a style="color: #000000;" href="https://archives.saintnazaire.fr/page/louis-brichaux-self-maire-man">https://archives.saintnazaire.fr/page/louis-brichaux-self-maire-man</a> )</span></p></td></tr><tr style="height: 314.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 314.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6446839" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/01/230397809.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="216" height="288" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 314.375px;"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Brinster</strong> Adolphe, contrôleur d'exploitation au chemin de fer d'Orléans, et son épouse, née Alice Bonfils.</span></p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong> </strong></span></p></td></tr><tr style="height: 398.844px;"><td style="width: 43.9973%; height: 398.844px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445779" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/1169287640.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="237" height="316" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 398.844px;"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Brohan</strong> Guy-Philippe-Marie-Gabriel (Saint-Nazaire 15 août 1893 – 20 décembre 1914 Zonnebeke (Belgique), 2<sup>e</sup> classe au 90<sup>e</sup> régiment d’Infanterie, mort pour la France tué à l’ennemi, frère du vice-amiral Brohan, il repose dans l’enfeu avec ses parents.<strong><br /></strong></span></p></td></tr><tr style="height: 113.562px;"><td style="width: 43.9973%; height: 113.562px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 113.562px;"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Bunout</strong> Théodore Louis Marie (Saint-Nazaire 12 juillet 1872 - 25 septembre 1915 Aubérive), dessinateur aux Chantiers, lieutenant au 151e Régiment d’Infanterie, 1ère Compagnie, mort pour la France.</span></p></td></tr><tr style="height: 403.891px;"><td style="width: 43.9973%; height: 403.891px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445780" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/00/1740933446.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="241" height="321" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 403.891px;" width="385"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000; font-size: 12pt;"><strong>Cado</strong> Marcel Marie Henry (Saint-Nazaire 24 janvier 1890 – 14 juin 1916 Verdun), médecin auxiliaire au 137<sup>e</sup> régiment d’Infanterie, blessé sur le champ de bataille, décédé à l’ambulance 3/12 à Verdun, (son corps fut rapporté en juin 1922) ; fils de Léon Cado (Herbigna 1<sup>er</sup> mai 1845 - 28 octobre 1930 Saint-Nazaire), docteur en médecine.</span></p></td></tr><tr style="height: 425.469px;"><td style="width: 43.9973%; height: 425.469px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6446380" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/1935698520.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="255" height="340" /></span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 425.469px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Caldecott </strong>Hubert (1913-1940), pharmacien, résistant, fusillé comme otage le 22 octobre 1941 au Mont-Valérien</span></p></td></tr><tr style="height: 364.766px;"><td style="width: 43.9973%; height: 364.766px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445783" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/1888328128.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="222" height="296" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 364.766px;" width="385"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Calimaque </strong>Paulin<strong> </strong>(1873-1893), sculpteur, dont les œuvres exposées au Salon de 1894 se trouvent aujourd’hui dans les collections municipales. Son père était entrepreneur en charpentes et important membre de la loge maçonnique locale. Son beau-frère, Edouard Méneux, fut horloger à Saint-Nazaire (<a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/04/02/notes-sur-la-famille-calimaque-6140811.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/04/02/notes-sur-la-famille-calimaque-6140811.html</a> )</span></p></td></tr><tr style="height: 418.016px;"><td style="width: 43.9973%; height: 418.016px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445784" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/2112933117.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="251" height="335" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 418.016px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Campredon </strong>Louis (1863-1928), chimiste et industriel, on lui doit la création des Goélands de Saint-Nazaire ( <a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/04/02/une-figure-nazairienne-louis-campredon-6140914.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/04/02/une-figure-nazairienne-louis-campredon-6140914.html</a> )</span></p></td></tr><tr style="height: 311.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 311.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> <img id="media-6446384" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/2754066443.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="214" height="285" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 311.375px;"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong> Chaumeil</strong> Georges Léon (Saint-Nazaire 24 janvier 1926 - le 28 juin 1944 à Saffré), maquisard AS, résistant FFI, mort au combat. ( <a style="color: #000000;" href="https://fusilles-40-44.maitron.fr/spip.php?article243116">https://fusilles-40-44.maitron.fr/spip.php?article243116</a> )</span></p></td></tr><tr style="height: 91.1719px;"><td style="width: 43.9973%; height: 91.1719px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 91.1719px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Chauve </strong>Etienne Camille (Saint-Nazaire 13 mai 1889 - 10 août 1917 Saint-Quentin) sergent au 116e régiment d’Infanterie, mort pour la France tué à l’ennemi.</span></p></td></tr><tr style="height: 113.562px;"><td style="width: 43.9973%; height: 113.562px;"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"> </span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 113.562px;"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Coetmellec</strong> Francois, dit<strong><em> le Père des malheureux</em></strong>, mort en 1924, secrétaire du Bureau de bienfaisance et président de la Société de secours mutuelle de Saint-Nazaire.</span></p></td></tr><tr style="height: 376.781px;"><td style="width: 43.9973%; height: 376.781px;"><img id="media-6445796" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/759224183.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="270" height="360" /></td><td style="width: 56.0892%; height: 376.781px;"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong style="text-align: start;">Conard </strong><span style="text-align: start;">Paul Emile (1887-1949), ingénieur qui fut directeur des Chantiers de Penhoët, particulièrement répressifs envers les ouvriers, il a laissé un souvenir sombre à Saint-Nazaire (</span><a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2020/09/17/paul-emile-conard-6263914.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2020/09/17/paul-emile-conard-6263914.html</a><span style="text-align: start;"> )</span><strong><br /></strong></span></p></td></tr><tr style="height: 564.75px;"><td style="width: 43.9973%; height: 564.75px;" width="219"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"> <img id="media-6445789" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/02/688207074.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="252" height="336" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6446065" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/00/571215512.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 564.75px;" width="385"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Coquet </strong>Gabriel (Saint-Nazaire 9 octobre 1866 - La Turballe 29 août 1902), médecin, décéda par noyade avec sa fiancée et la mère de celle-ci alors qu’ils traversaient en barque entre la Pen Bon et Le Croisic, son corps fut retrouvé quelques jours après sur la plage de La Turballe, et identifié par son beau-frère Pierre Creston. Son monument lui fut offert par ses amis en 1903, il comprend un médaillon de bronze réalisé par l’artiste nazairien Alexandre Auffray, ce médaillon est actuellement dans les réserves de la Ville car il s’est décédé).</span></p></td></tr><tr style="height: 377.766px;"><td style="width: 43.9973%; height: 377.766px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445791" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/2808591121.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="232" height="309" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 377.766px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Creston </strong>(famille Elie). Eli Creston (Saint-Nazaire 21 juin 1852 - 23 février 1934 Saint-Nazaire) fils de boucher, il fut courtier maritime, (l’artiste céramiste Madeleine Giraudeau-Freyer, qui fit sa carrière en Irlande, est sa petite-fille). Son hôtel particulier, boulevard Wilson, commandé à l’architecte Van den Broucke, est connu sous le nom d’Hôtel Wilson.</span></p></td></tr><tr style="height: 557.547px;"><td style="width: 43.9973%; height: 557.547px;" width="219"><p> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6446382" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/01/2054373579.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="236" height="315" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 557.547px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Creston (famille Pierre). </strong>Pierre Creston est le frère cadet d’Elie, il était lui aussi courtier maritime, et possédait l’hôtel particulier à côté de celui de son frère. Pierre est aussi le beau-frère du docteur Coquet, dont il identifia le corps retrouvé quelques jours après sa noyade sur une plage de la Turballe.</span></p></td></tr><tr style="height: 456.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 456.375px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445794" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/3170086284.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="267" height="356" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 456.375px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Creston</strong> Gaston-Joseph (Brest 9 juin 1895 – 1<sup>er</sup> novembre 1916 Cayeux lès Santerre), 2<sup>e</sup> classe au 10<sup>e </sup>bataillon de Chasseurs à pied, mort pour la France de ses blessures.</span></p></td></tr><tr style="height: 443.25px;"><td style="width: 43.9973%; height: 443.25px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> <img id="media-6447896" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/2765634835.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 443.25px;" width="385"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Croizet</strong> (famille)</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Tombeau de Jacques narcisse Antoine <strong>Croizet</strong> (Paimboeuf 31 octobre 1853 - ... Saint-Nazaire), constructeur de bateaux à Paimboeuf la suite de son père, négocient, il avait épousé à Paris le 21 juillet 1880 Clara Esther Sarah <strong>Moïse</strong> (Marseille 18 juin 1852 - ... Saint-Nazaire),, de confession juive.</span></p></td></tr><tr style="height: 135.953px;"><td style="width: 43.9973%; height: 135.953px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 135.953px;"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>David</strong> Gabriel Francis Marie (Saint-Nazaire 21 septembre 1882 – 29 août 1916 au combat d’Estrée), inspecteur primaire, palmes académiques, médaille militaire, croix de guerre, mort pour la France tué à l’ennemi ; son père fut le directeur de l’école Carnot.</span></p></td></tr><tr style="height: 431.141px;"><td style="width: 43.9973%; height: 431.141px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445797" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/00/3435086317.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="261" height="348" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 431.141px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Davy</strong> Alexandre Gilles Auguste (Montoir-de-Bretagne 26 août 1810 - 4 décembre 1884 Saint-Nazaire), commis de marine de 1ère classe en Martinique de 1835 à 1846, puis à Cherbourg de 1862 à 1868, il s’établit alors à Saint-Nazaire où il est agent Comptable de la Marine à Saint-Nazaire. Chevalier de la Légion d’Honneur. La gravure ne le mentionne pas, mais il est inhumé avec son épouse : Marie Louise Rose Euphrasie-Langellier-Bellevue (Saint-Pierre de La Martinique 14 août 1820 - 19 décembre 1892 Saint-Nazaire).</span></p></td></tr><tr style="height: 366.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 366.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6446383" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/2968944429.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="255" height="340" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 366.375px;"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Daygue </strong>Anne-Marie (7 janvier 1905 - 15 août 1988), chevalier de l'Ordre national du Mérite (repose dans le caveau Pajot)</span></p></td></tr><tr style="height: 158.344px;"><td style="width: 43.9973%; height: 158.344px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 158.344px;"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Delemare</strong> (Famille). Cette famille qui possède le manoir de Ker Aimée à Bonne Anse, posséda le plus grand théâtre itinérant d'Europe (<a href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2021/07/29/theatres-music-halls-et-cinemas-nazairiens-des-origines-aux-bomardements.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2021/07/29/theatres-music-halls-et-cinemas-nazairiens-des-origines-aux-bomardements.html</a>)</span></p></td></tr><tr style="height: 427.094px;"><td style="width: 43.9973%; height: 427.094px;" width="219"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"> <img id="media-6445799" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/2058265698.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="258" height="344" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 427.094px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Dejoux</strong>, boulanger devenu entre preneur en boulangerie qui franchisa plusieurs boulangeries en Presqu’île.</span></p></td></tr><tr style="height: 266.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 266.375px;"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6447898" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/1630660605.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 266.375px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong style="color: #000000;">Delaris </strong><span style="color: #000000;">Joseph (Arles-sur-Tech 1837 - 2 janvier 1900 Saint-Nazaire), </span>contrôleur<span style="color: #000000;"> </span>principal<span style="color: #000000;"> des Douanes. Son beaufils, Edouard-Désiré Lefevre (Saint Florent le Viel 9 février 1841 - ), associa son nom au sien. Edith Noémie Désirée </span><span style="color: black;">Lefevre-Delaris (Nantes </span>6 décembre 1888 - <span style="color: #000000;"><span style="color: #222222;">18 mars 1962 Guérande), petite-fille de Joseph, a épousé Henri Isle de Beauchaine (1886-1963).</span></span></span></p></td></tr><tr style="height: 468.5px;"><td style="width: 43.9973%; height: 468.5px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445800" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/02/2725769871.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="260" height="346" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 468.5px;" width="385"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Delzieu<span style="color: #000000; font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;">x</span></strong>, famille d’épiciers en gros. Louis delzieux, était aussi trésorier de l'Association des Bleus de Bretagne, association républicaine qui tentait de faire ombrage à l'association royaliste de L'Unions régionaliste bretonne. Cependant, c'est Apollon La Touche, royaliste, président local des Hospitaliers-Sauveteur bretons, association royaliste, qui prononça le discours au cimetière... Sans enfant, Louis Delzieux légat sa fortune à la Ville, d’où l’existence d’un square à ce nom.</span></p></td></tr><tr style="height: 410.938px;"><td style="width: 43.9973%; height: 410.938px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445801" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/3562177944.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="246" height="328" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 410.938px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Denier</strong> Albert-André, soldat au 409<sup>e</sup> régiment d’Infanterie (Saint-Nazaire 29 septembre 1893 - 18 avril 1916 Vaux devant Damloup) mort pour la France de ses blessures.</span></p></td></tr><tr style="height: 422.047px;"><td style="width: 43.9973%; height: 422.047px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445802" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/416326779.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="254" height="339" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 422.047px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Dommée</strong> Jacques (1895-1940), architecte, son monument funéraire est dû à son frère Claude, qui fut l’architecte des halles de Saint-Nazaire. Ses archives sont conservées par la ville, certaines de ses médailles et effets personnels en possession de l’auteur de ce blog. ( <a style="color: #000000;" href="https://archives.saintnazaire.fr/ark:/28388/gjl6zd17cxh4">https://archives.saintnazaire.fr/ark:/28388/gjl6zd17cxh4</a> )</span></p></td></tr><tr style="height: 903.141px;"><td style="width: 43.9973%; height: 903.141px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445803" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/00/1284584639.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="264" height="352" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445805" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/00/867687192.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="257" height="343" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 903.141px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Durand</strong>, famille de médecins et de politiciens disposant de plusieurs caveaux côte à côte dans l’allée courbe (<a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2012/07/31/notes-sur-la-famille-durand.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2012/07/31/notes-sur-la-famille-durand.html</a> )</span></p></td></tr><tr style="height: 514.922px;"><td style="width: 43.9973%; height: 514.922px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445807" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/01/703673327.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="232" height="309" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 514.922px;"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Emery </strong>Bernard (1885-1958), médecin.</span></p></td></tr><tr style="height: 266.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 266.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6447883" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/00/2626734940.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 266.375px;"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Esseul</strong>, Gustave Esseul était fabriquant de plâtre et conseiller municipal d'Assérac, son fils, prénommé aussi Gustave, fut marchand de vin.</span></p></td></tr><tr style="height: 271.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 271.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6447905" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/4083490697.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="184" height="245" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 271.375px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Ester</strong> Antoine Marcellin (Saint-Nazaire 10 juillet 1895 – 16 avril 1917 Braye en Laonnois), soldat de 2<sup>e</sup> classe, 106<sup>e</sup> d’Infanterie mort pour la France tué à l’ennemi, médaille militaire et croix de guerre.</span></p></td></tr><tr style="height: 266.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 266.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6447897" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/2061621276.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 266.375px;"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Evain </strong>René était sommelier à la Compagnie générale Transatlantique</span></p></td></tr><tr style="height: 447.047px;"><td style="width: 43.9973%; height: 447.047px;"><p><img id="media-6447900" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/3738681161.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="251" height="335" /></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 447.047px;"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><span style="color: #000000;"><strong>Prevost - </strong></span><strong>Fleury </strong>(famille), très ancienne famille nazairienne de laboureurs possédant leur ferme à La Ville Allain. - Jean Louis Fleury était employer des Douanes.</span></p><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Lucie Marie Amélie Prevost (Saint-Nazaire 9 mai 1884 - 14 janvier 1927 Cannes), avait épousé l’avocat nazairien Clair Marie Léonard Horveno (1879-1953), dont la plaque à disparue.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Claire Marie Lucie <strong>Horveno</strong> (Saint-Nazaire 10 juin 1909 - 14 mars 1998 Paris 13), assistante sociale, avait épousé Paul Victor Ernest <strong>Claudey</strong> (Saint-Cloud 2 août 1909 – 1998), ingénieur des arts et manufactures.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Blanche<strong> Prevost</strong> (1891-1940), Henri <strong>Jacobsen</strong> dit monsieur de La Crosnière (Noirmoutier-en-L'Île 22 juillet 1865 – 1943 Saint-Nazaire), d’un père né à Noirmoutier, fils d’un officier suédoise et d’un demoiselle de Tinguy de La Giroulière.</span></p><p> </p></td></tr><tr style="height: 331.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 331.375px;" width="219"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6446378" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/132707186.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="238" height="317" /></span></td><td style="width: 56.0892%; height: 331.375px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Fronteau</strong> Pierre (Bocé 11 juin 1827 - 14 février 1902 à Saint-Nazaire), imprimeur, d’abord établit à Savenay, fondateur en 1857 du journal <em>Le Pilote de Saint-Nazaire</em>, déménagea en 1868 à Saint-Nazaire où il fonda le journal <em>L’Avenir de Saint-Nazaire</em>.</span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Sa fille Berthe-Honorine décéda à l’âge de 25 ans, le 18 juin 1879, la correspondance de celle-ci fut publiée sous le titre « <em>Lettres intimes</em> ». (<a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2014/12/08/charles-beilvaire-un-peintre-nazairien-oublie-5505901.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2014/12/08/charles-beilvaire-un-peintre-nazairien-oublie-5505901.html</a> )</span></p></td></tr><tr style="height: 266.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 266.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> <img id="media-6447870" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/1073040592.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 266.375px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Gabory. </strong>ce grand enfeu est celui de la famille du député de la Seine-Inférieur, journaliste et ami d'Aristide Briand, Félix Gabory, (Saint-Nazaire 6 juin 1867 - 3 avril 1944 ).</span></p></td></tr><tr style="height: 424.047px;"><td style="width: 43.9973%; height: 424.047px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445814" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/3918358910.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="256" height="341" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 424.047px;" width="385"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Galibourg </strong>Alexandre, dit maître Galibourg, (1846-1936), avocat, premier bâtonnier élu, en 1890, du barreau de Saint-Nazaire, il a son visage sculpté sur l’un des chapiteaux de l’église Saint Nazaire (<a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2012/11/02/maitre-alexandre-galibourg.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2012/11/02/maitre-alexandre-galibourg.html</a>)</span></p></td></tr><tr style="height: 503.797px;"><td style="width: 43.9973%; height: 503.797px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445816" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/00/474164998.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="280" height="420" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 503.797px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Gasnier </strong>Fernand (1853-1906), négocient, maire de 1884 à 1896, président de la chambre de commerce de Saint-Nazaire de 1905 à 1906, fut impliqué dans un énorme détournement de fonds, mais ne fut jamais jugé malgré les preuves.</span></p></td></tr><tr style="height: 476.547px;"><td style="width: 43.9973%; height: 476.547px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><img id="media-6445819" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/1524612548.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="288" height="384" /><br /><br /></td><td style="width: 56.0892%; height: 476.547px;" width="385"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">.</span></p><p><strong style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 16px;">Gauffriau </strong><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 16px;">Léon (1er février 1881 - 26 mars 1952 - Saint Bonnet de Joux),</span><strong style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 16px;"> </strong><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 16px;">était pharmacien comme le mention la gravure.</span></p></td></tr><tr style="height: 266.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 266.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6447887" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/00/4222044355.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 266.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;"><strong>Georgelin</strong> Georges François Marie (Saint-Nazaire 27 septembre 1888 – 30 octobre 1915 Perthe et Tahure), caporal au 14<sup>e</sup> régiment d’Infanterie, mort pour la France tué à l’ennemi. médaille militaire et croix de guerre.</span></p><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"> </span></p></td></tr><tr style="height: 467.469px;"><td style="width: 43.9973%; height: 467.469px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><img id="media-6445818" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/1524612548.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="283" height="377" /></td><td style="width: 56.0892%; height: 467.469px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Grandperret</strong> Charles-Louis</span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> (Bejaïa (Algérie) 7 avril 1893 - 22 août 1914 Maissin (Belgique), étudiant, sergent au 116e régiment d’Infanterie, mort pour la France, Croix de guerre et Médaille militaire ; son père, Antoine Charles Granperret (Bourges 3 mars 1856 - 22 avril 1931 Saint-Nazaire), était agent principal de la compagnie générale transatlantique ; sa sœur, Jeanne-Louise-Isaure <strong>Grandperret</strong> (Bejaïa 31 décembre 1889 - 2 avril 1977 Guérande), fut artiste peintre</span></p></td></tr><tr style="height: 59.8594px;"><td style="width: 43.9973%; height: 59.8594px;" width="219"> </td><td style="width: 56.0892%; height: 59.8594px;" width="385"> </td></tr><tr style="height: 354.422px;"><td style="width: 43.9973%; height: 354.422px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445825" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/348382363.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="204" height="272" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 354.422px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Gosselin </strong>Emile, serrurier durant l'entre-deux-guerres</span></p></td></tr><tr style="height: 425.891px;"><td style="width: 43.9973%; height: 425.891px;" width="219"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"> <img id="media-6445824" style="text-align: center; margin-top: 0.7em; margin-bottom: 0.7em; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/1467242815.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="275" height="367" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 425.891px;" width="385"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>G</strong><strong>raziana</strong>, famille de marbriers et entrepreneurs en mosaïques et pompes funèbres dont la boutique faisait face au cimetière (actuel immeuble de La Croix Rouge). L’entreprise Graziana fut fondée en 1894 par Jean-Baptiste .Graziana, natif de Postua au Piémont.</span></td></tr><tr style="height: 266.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 266.375px;"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6447880" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/1576737326.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 266.375px;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Gruel </strong>Auguste (1846 - 13 août 1871), <em>victime de guerre</em>, médaille militaire.</span></td></tr><tr style="height: 507.812px;"><td style="width: 43.9973%; height: 507.812px;"><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"> </span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 507.812px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><strong>Chapelle Guillet - Lassou</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">François Guillet, (Château-Thébaud 20 décembre 1828 – 13 mai 1871 Saint-Nazaire). Fils d'un charpentier, il était pharmacien à Saint-Nazaire et avait son officine place du Bassin. Epoux d'Aimée-Julie-Joséphine Lassou, (Paimboeuf 18 novembre 1839 - 28 juillet 1880 Nantes 1er), fille d’un horloger, il</span><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> fit construire au coeur de vignes de La Rougeole à Bonne Anse le manoir de Ker Aimée, baptisé en l’honneur de son épouse, depuis propriété de la famille Delemarre.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Le couple eût un fils, Gabriel-Alfred-François Guillet, (Saint-Nazaire 4 avril 1870 – 7 septembre 1952 Le Cellier). A la mort de François Guillet, Aimée hérita de son époux, et s'établit chez son père rue de Villes-Martin à Saint-Nazaire, puis vendit l'ensemble des biens. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Longtemps sans porte, la chapelle a été fermée par une planche en 2010 afin d'empêcher des sans habrits de s'y réfugier...</span></p></td></tr><tr style="height: 379.641px;"><td style="width: 43.9973%; height: 379.641px;"><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445828" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/1695072769.2.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="223" height="297" /></span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 379.641px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><strong>Guillerme </strong>lieutenant Henri (1917- 5 juin 1940), tué au combat pour la France, Légion d’Honneur et Médaille de guerre.</span></p></td></tr><tr style="height: 450.297px;"><td style="width: 43.9973%; height: 450.297px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445831" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/01/4282936232.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="275" height="367" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 450.297px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><strong>Guierre</strong> Alphonse-Alexis (Luxeuil-les-Bains 11 juin 1847 - 15 février 1904 Saint Nazaire), chevalier de la Légion d'Honneur, ancien lieutenant de vaisseau et trésorier des Invalides à Morlaix, nommé pilote major du port de Saint-Nazaire en mai 1899, l’un des intime de l’écrivain Pierre Loti qui vint plusieurs fois lui rendre visite à Saint-Nazaire et fu le parain de sa fille Blanche (Saint-Nazaire 28 octobre 1899 - 1er septembre 1987 Paris 7<sup>ème</sup> ). Alphonse avait épousé Louise-Emilie-Rosalie Mouchot. ( <a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2021/09/02/pierre-loti-a-saint-nazaire-6335140.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2021/09/02/pierre-loti-a-saint-nazaire-6335140.html</a> )</span></p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong> </strong></span></p></td></tr><tr style="height: 326.672px;"><td style="width: 43.9973%; height: 326.672px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6447888" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/01/2803497468.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 326.672px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Hascoët</strong> Hervé Louis François (Saint-Nazaire 24 janvier 1890 – 20 octobre 1915 Sedan), sergent au 65<sup>e</sup> régiment d’Infanterie, mort pour la France de ses blessures de guerre à l’hôpital militaire de Sedan ; et son frère <strong>Hascoët</strong> Jean Yves (Saint-Nazaire 7 juillet 1896 – 21 septembre 1917 Dolegna del Collio), 2<sup>e</sup> canonnier servant au 102<sup>e</sup> d’Artillerie lourde puis au 51 régiment d’Artillerie lourde, mort pour la France tué par l’explosion d’un dépôt de munitions durant la campagne d’Italie.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Médaille militaire et Croix de guerre.</span></p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong> </strong></span></p></td></tr><tr style="height: 728.938px;"><td style="width: 43.9973%; height: 728.938px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6446401" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/2778484996.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="220" height="293" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445833" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/01/2966535564.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="243" height="324" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 728.938px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Hauton</strong>, famille de ciriers qui possédait sa manufacture à Saint-Nazaire rue de la Ville Etable, dont le bâtiment des bureaux existe encore, transformé en habitation. Cette famille possède un caveau et un enfeu </span></p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">– Alexandre Désiré <strong>Hauton</strong>, (Saint-Nazaire 10 février 1894 -15 juin 1916 Thiaumont-Verdun), sergent au 65<sup>e</sup> régiment d’Infanterie, mort pour la France tué à l’ennemi.</span></p></td></tr><tr style="height: 454.344px;"><td style="width: 43.9973%; height: 454.344px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445834" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/1846471550.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="278" height="371" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 454.344px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Hoffman</strong>, famille d'entrepreneurs en peintures. Rare exemple de chapelle-enfeu.</span></p></td></tr><tr style="height: 401.844px;"><td style="width: 43.9973%; height: 401.844px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445836" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/3247122218.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="239" height="319" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 401.844px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Inizan </strong>Raymond, (La Seguinière – 1939 Saint-Nazaire) médecin comme indiqué sur l’enfeu.</span></p></td></tr><tr style="height: 426.094px;"><td style="width: 43.9973%; height: 426.094px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445838" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/02/3924080672.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="257" height="343" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 426.094px;" width="385"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Jamouillet, </strong>Charles, commit des ponts et chaussées à Saint-Nazaire, soldat au 20e de ligne, mort pour la France le 6 février 1871 ; père de Charles Jamouillet, (1864 - Paris 17 mai 1933), directeur du journal nazairien anticlérical <em>L’Avenir.</em></span></p></td></tr><tr style="height: 753.75px;"><td style="width: 43.9973%; height: 753.75px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445839" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/598826459.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="237" height="316" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445841" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/00/1678845707.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="239" height="319" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 753.75px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Joly</strong>, deux enfeus se répartissent les corps des membres de cette famille de commerçants spécialisés dans les vêtements et l’ameublement durant trois générations ( <a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2021/04/14/les-joly-une-famille-de-commercants-6309565.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2021/04/14/les-joly-une-famille-de-commercants-6309565.html</a> )</span></p></td></tr><tr style="height: 91.1719px;"><td style="width: 43.9973%; height: 91.1719px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 91.1719px;"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Kermasson-Keriselle </strong><em>(olim Kermasson de Kerissel). </em>Cette famille posséda de la Révolution jusqu'à son extinction le manoir du Lin. </span></p></td></tr><tr style="height: 785.719px;"><td style="width: 43.9973%; height: 785.719px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445842" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/00/3508682883.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="240" height="320" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 785.719px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>La Caffinière (de)</strong>, Jean Munz, probablement d’une famille venue en France de Suisse au milieu du 19<sup>e</sup> siècle, connu sous le nom de La Caffenière, ou plus exactement bénéficiant du nom d’usage Munz-Louer de La Caffenière, du chef de sa femme née Louer de La Caffenière, docteur en médecine, surnommé « <em>docteur La Cafetière</em> », célèbre pour avoir traumatisé une génération d‘enfants comme médecin scolaire entre 19650 et 1960 (il portait des gants en caoutchouc rouge réutilisable comme les chirurgiens des années 1930, et oubliait régulièrement l’aiguille de vaccination plantée dans le dos de ses jeunes patients).</span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Etablis à Saint-Nazaire en 1938 après avoir vécu à Brest. A la Libération le docteur Jean Munz-Louer de La Caffenière fut affecté au Service de santé des Armées, (juin 45, confirmé en mars 46 et septembre 46), avec grade de médecin capitaine. Le docteur avait pour belle-sœur, Anne-Marie Josèphe Louise Louer de La Caffenière, infirmière visiteuse d’hygiène sociale à Saint-Nazaire, (médaille de bronze de l’Assistante publique en 1938), qui s’illustra durant l’empochage comme infirmière de la défense passive (lettre de félicitations du gouvernement en juin 1943). Celle-ci adopta les enfants de sa sœur par jugement du Tribunal civil de Saint-Nazaire à partir d’octobre 1940 afin que le nom Louer de La Caffenière ne disparaisse pas. En effet, sa sœur et elle étaient les deux dernières de cette famille originaire du Poitou, établie en pays nantais depuis la fin du 17e siècle, puis sur le bord de l’Estuaire dès 1850. Ces enfants se sont distingués dans le milieu médical avec beaucoup de mérites. (NB : pour plus d’information sur l’adoption par leur tante, consultez « Le Simili-Nobilaire français », de Pierre-Marie Dioudonnat, éditions Sedopols, 2002.)</span></p></td></tr><tr style="height: 378.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 378.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><strong><img id="media-6445864" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/02/739851027.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="258" height="344" /></strong></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 378.375px;"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong><span style="color: black;">Le Rol</span></strong><span style="color: black;">, famille d’entrepreneurs en plomberie et chauffage.</span></span></p></td></tr><tr style="height: 566.797px;"><td style="width: 43.9973%; height: 566.797px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445843" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/01/875998957.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="282" height="376" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 566.797px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Laborde, Heliard, Tartoué</strong>, Charles Laborde (1798-1875), capitaine au long cours, commanda la chaloupe qui conduit Napoléon de l'Epervier au navire anglais Bellerofond pour son exil à Sainte-Hélène. Il est le père de monseigneur Laborde, évêque de Blois, et d’Athanase, 1838-1970), héros de la défense de Paris (non gravé sur la croix de gauche), il est le beau-père de François Héliard, capitaine au long cours de la Compagnie Générale Transatlantique avec qui il repose, et le grand-père de la femme de lettres de Marc Hélys, épouse de l’ambassadeur Lera (<a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/04/04/marie-lera-saint-nazaire-iyi-ak%C5%9Famlar-6141565.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/04/04/marie-lera-saint-nazaire-iyi-ak%C5%9Famlar-6141565.html</a> ). Le sarcophage à droite contient les restes de la famille Tartoué, famille de l’épouse de Charles Laborde, dont celui du marchand boucher Yves-Honoré Tartoué (1774-1854), qui fut chargé du ravitaillement de la 4e compagnie du 1er bataillon du 2e régiment d’infanterie Landwher qui stationna à l’occasion de l’occupation de la France en 1815. L’une des filles d’Yves-Honoré, Désirée Tartoué, fut religieuse et a laissé son nom à une rue de la ville. (A propose de la famille Laborde : <a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2018/06/26/notes-sur-la-famille-laborde-6062599.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2018/06/26/notes-sur-la-famille-laborde-6062599.html</a> )</span></p></td></tr><tr style="height: 266.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 266.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> <img id="media-6447877" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/1860557716.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 266.375px;"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Lacour </strong>Vivant (</span>Saint-Sernin-du-Bois <span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">26 mars 1859 - 20 juillet 1930 Saint-Nazaire), maire de Saint-Nazaire de de 1919 à 1925, il avait débuté comme ouvrier ajusteur, puis devint contremaitre de la fonderie Bourand située rue Albert de Mun, qu'il racheta l'entreprise ensuite et développa ; il contribua à la création de la Caisse Générale d'Accident fondée à Nantes et en fut président du conseil d'administration.</span></p></td></tr><tr style="height: 463.438px;"><td style="width: 43.9973%; height: 463.438px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445844" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/01/1684741964.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="256" height="341" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 463.438px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Lainé </strong>Louis François <u>Eugène</u> (Nantes 1826 - 2 juillet 1877 Saint-Nazaire), capitaine au long cours (<a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2012/07/19/titre-de-la-note.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2012/07/19/titre-de-la-note.html</a> )</span></p></td></tr><tr style="height: 409.938px;"><td style="width: 43.9973%; height: 409.938px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445846" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/1973476925.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="245" height="327" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 409.938px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Lamoureux,</strong> famille de tailleurs dont la boutique se initialement nommée « A Jeanne d’Arc » fondée en 1855 existât jusqu’à la fin du 20<sup>e</sup> siècle. Victor Lamoureux (1864-1954), sculpteur amateur, mais talentueux, fut l’un des fondateurs du Groupe Artistique qu’il dirigea jusqu’en 1943 ( <a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2018/07/30/le-groupe-artistique-de-saint-nazaire-et-le-groupe-de-indepe-6069504.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2018/07/30/le-groupe-artistique-de-saint-nazaire-et-le-groupe-de-indepe-6069504.html</a> )</span></p></td></tr><tr style="height: 68.7812px;"><td style="width: 43.9973%; height: 68.7812px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 68.7812px;"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Landas</strong>, famille de quincaillers et de marchands de journaux établit rue du Palais.</span></p></td></tr><tr style="height: 440.219px;"><td style="width: 43.9973%; height: 440.219px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445848" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/02/2117805137.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="268" height="357" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 440.219px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Lebaupin</strong> Jules (1860-1899), sous principal du collège de Saint-Nazaire. </span></p></td></tr><tr style="height: 422.047px;"><td style="width: 43.9973%; height: 422.047px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445850" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/02/3995495615.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="254" height="339" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 422.047px;" width="385"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Lechat-Boislève </strong>Baptiste Auguste , maire de 1899 à 1909, conseiller général, négociant en vin, le nom de Boislève et son fait celui de son épouse qui était fille d’un entrepreneur en charpentes. Il fit construire les chalets de Port-Charlotte pour lui et ses enfants.</span></p></td></tr><tr style="height: 139.281px;"><td style="width: 43.9973%; height: 139.281px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 139.281px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Lemouland </strong>Gustave Pierre Victor, (Saint-Nazaire 1<sup>er</sup> mai 1878 – juin 1929 Marseille), chef de bataillon d’Infanterie en Algérie, officier de la Légion d’Honneur, titulaire de 14 décorations étrangères, adjoint au maire d’Alger.</span></p></td></tr><tr style="height: 342.406px;"><td style="width: 43.9973%; height: 342.406px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6447889" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/2156913754.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 342.406px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Lehuche</strong> (orthographié aussi <strong><em>Le Huche</em></strong>) Pierre Charles Lucien (Saint-Nazaire 11 octobre 1895 – 22 octobre 1918 Uskub royaume de Serbie, aujourd’hui Skopje capitale de la République de Macédoine du Nord), ambulancier 2<sup>e</sup> classe au 15 escadron du Train, mort à l’ambulance 8/3 d’Uskub d’une maladie contractée au service.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Notes : la manœuvre d’Uskub (24 septembre 1918 - 30 septembre 1918), durant la campagne de Serbie, fut <span style="color: #202122; background: white;">une victoire qui conduit à la signature de l’armistice bulgare le </span>30 septembre 1918. Malheureusement, le typhus était la maladie courante en Serbie dans els troupe armée durant toute la guerre.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong> </strong></span></p></td></tr><tr style="height: 262.781px;"><td style="width: 43.9973%; height: 262.781px;"><p><img id="media-6447893" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/1801002451.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 262.781px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Luc</strong> Eugène Justin (Saint-Nazaire 7 décembre 1892 – 7 septembre 1914 Fère-Champenoise), soldat au 93<sup>e</sup> régiment d’Infanterie, mort pour la France tué à l’ennemie.</span></p></td></tr><tr style="height: 321.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 321.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6446840" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/1230596883.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="221" height="295" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 321.375px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Lucas</strong> Denis Antoine (Blois 29 février 1812 - 28 juillet 1901 Saint-Nazaire), juge de Paix, avocat du Barreau de Saint Nazaire.</span></p><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong> </strong></span></p></td></tr><tr style="height: 334.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 334.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6446837" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/2332214570.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="231" height="308" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 334.375px;"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Madiot</strong> François Amand Jean Marie, (Janzé 1819 - 24 janvier 1901 Saint-Nazaire) instituteur communal</span></p></td></tr><tr style="height: 425.047px;"><td style="width: 43.9973%; height: 425.047px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445851" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/00/1329349550.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="256" height="342" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 425.047px;"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Mahe</strong> Victor (1912-1954), révérent père des Franciscains.</span></p></td></tr><tr style="height: 266.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 266.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> <img id="media-6447865" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/752578969.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 266.375px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Mathel </strong>Ange Louis, ferblantier, entré dans la compagnie des sapeur pompiers de Saint-Nazaire le 27 octobre 1889, caporal en 1895, sergent en 1900, sergent fourrier le 1<sup>er</sup> décembre 1902. (Port Louis 1867 - 24 avril 1905 Saint-Nazair<span style="color: #000000;">e). Il repose avec son fils, André Auguste Louis Jean <strong>Mathel</strong> (Saint-Nazaire 24 juin 1919 – 6 septembre 1918 hôpital de la Marine Militaire de Lorient), apprenti-marin, 3<sup>e</sup> dépôt, mort pour la France d’une pneumonie au poumon gauche.</span></span></p></td></tr><tr style="height: 486.641px;"><td style="width: 43.9973%; height: 486.641px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445853" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/01/2197446084.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="262" height="350" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 486.641px;" width="385"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Méloche </strong>Pierre-Ernest (1860-1946),<strong> </strong>docteur en médecine, investi dans la lutte contre l’alcoolisme, les œuvres sociales, et les activités du Groupe Artistique, son corps a été inhumé à La Baule, non dans le caveau de sa famille, il n’est donc mentionné qu’à titre de cénotaphe.</span></p></td></tr><tr style="height: 498.766px;"><td style="width: 43.9973%; height: 498.766px;" width="219"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445854" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/01/627696387.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="255" height="340" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 498.766px;" width="385"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Montmartin</strong>, monsieur Montmartin était épicier en gros, il investit dans l’immobilier en faisant construire des immeubles bourgeois et ouvriers un peu partout en ville, dont les maisons du passage Montmartin, une voie privée située entre les rues du Maine et d’Anjou, qui devint le lieu de toutes les horreurs humaines (meurtres, vols, alcoolisme, viol et prostitution adulte et enfantine). Sa veuve, passait pour une femme épouvantable, méchante et radine. Elle vivait dans leur hôtel particulier rue Villebois-Mareuil, mais finit par perdre la tête, abandonnée par ses filles qui vivaient à Paris. Elle disparut durant trois jours, et on la retrouva en chemise de nuit dans la décharge de La Matte. Durant l’Occupation, l’Hôtel de Ville ayant été détruit par les bombardements, les services municipaux trouvèrent un temps refuge dans l’hôtel Montmartin.</span></p></td></tr><tr style="height: 424.156px;"><td style="width: 43.9973%; height: 424.156px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: left;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445855" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/00/2020406490.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="253" height="337" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 424.156px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Moreau</strong> François Alexandre (Bouée 17 juillet 1858 – 8 août 1902), il fut le dernier meunier de Villès-Martin.</span></p></td></tr><tr style="height: 266.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 266.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6447885" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/2736460448.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 266.375px;"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Nicolas</strong> Alfred Victor Auguste (Saint-Nazaire 20 septembre 1886 – 20 septembre 1914 Moulin sous Touvent), sergent au 264<sup>e</sup> régiment d’Infanterie, mort pour la France tué à l’ennemi.</span></p></td></tr><tr style="height: 452.344px;"><td style="width: 43.9973%; height: 452.344px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445856" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/3796457699.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="236" height="314" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 452.344px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Niol</strong> Emmanuel (1903-1987), capitaine au long cours</span></p></td></tr><tr style="height: 472.516px;"><td style="width: 43.9973%; height: 472.516px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445857" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/00/163021099.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="248" height="330" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 472.516px;" width="385"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Nouteau </strong>Louis (1826-1896),<strong> </strong>entrepreneur, il finança Aristid Briand (qui le remercia en devant l’amant de sa fille Jeanne, épouse du banquier Giraudeau avec qui il fut surpris dans les buissons en ébats). La statue, sculptée par Joseph Vallet (1841-1920), figure l’une de ses filles, décédée enfant. Arsène Nouteau, fils de Louis, fut entrepreneur, président du Tribunal de commerce, conseiller général ; il a laissé son nom à une rue de Saint-Nazaire. – A l’arrière, se trouve la sépulture Nouteau-Marcussen, Hans Marcussen, (1847-1927), était notaire, et avait épousé une fille de Louis.</span></p></td></tr><tr style="height: 318.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 318.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6446397" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/2826885531.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="219" height="292" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 318.375px;"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Pacqueteau </strong>Ambroise, commerçant originaire de Vendée longtemps établit à Nantes, fit de la spéculation immobilière à Saint-Nazaire.</span></p></td></tr><tr style="height: 266.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 266.375px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6447890" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/00/336496096.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 266.375px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Pain </strong>Armand Pierre Marie (Escoublac 26 janvier 1886 – 28 août 1914 Ginchy), soldat de 2<sup>e</sup> classe au 265<sup>e</sup> régiment d’Infanterie, mort pour la France suite à ses blessures de guerre (son père était ajusteur monteur aux chantiers).</span></p></td></tr><tr style="height: 494.719px;"><td style="width: 43.9973%; height: 494.719px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445858" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/264145773.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="235" height="314" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 494.719px;" width="385"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Papin Labazordière Ruillier Beaufond </strong>Tony Marie Louis Jules André (Paris 31 juillet 1905 - Tué au combat le 1 février 1946 en Indochine), d'ingénieur des constructions aéronautiques et mécaniques (<a style="color: #000000;" href="http://www.cieldegloire.fr/004_papin_labazordiere_t.php">http://www.cieldegloire.fr/004_papin_labazordiere_t.php</a> ). C’est un cénotaphe, son corps n’ayant jamais été retrouvé. Issu d’une famille de béquet de La Guadeloupe, le tombeau où il est nommé, surmonté d’une statue de la Vierge, est celui de sa mère, Marie-Amélie-Roseline-<u>Juliette </u><strong>Debonne </strong>(Antoing (Belgique) 7 octobre 1887 – 9 octobre 1917 Saint-Nazaire), et de son frère Alcide (mort-né le 6 octobre 1917 à Saint-Nazaire). Le père de Juliette, Jules-Joseph-Dominique <strong>Debonne</strong>, (Pointe à Pitre 10 avril 1849 – 3 février 1921 Saint-Nazaire, était le directeur Compagnie des Vapeurs de La Guadeloupe.</span></p></td></tr><tr style="height: 294.297px;"><td style="width: 43.9973%; height: 294.297px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6446838" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/2491620499.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 294.297px;"><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Parage</strong> docteur</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Paul Joseph Théodore Marie Parage, chirurgien-dentiste à Bordeaux le 12 avril 1917, s’établit en septembre 1921 à la place de la chirurgien-dentiste Laco au 28 rue Amiral Courbet. Malgré une publicité constante dans la presse, ses affaires allèrent mal. Le 13 septembre 1924 vers 22h30, il se suicida en se tirant une balle de revolver devant son épouse. Le couple était marié de puis un an et demi, et avait un fils. Sa veuve se remaria en 1929 et s’établit à Marseille.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong> </strong></span></p></td></tr><tr style="height: 506.844px;"><td style="width: 43.9973%; height: 506.844px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445859" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/01/463201670.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="271" height="362" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 506.844px;" width="385"><p style="text-align: left;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Pécaud </strong>Jean<strong> </strong><u>Pierre</u> Nozay le 6 janvier 1839 – 10 octobre 1896 Saint-Nazaire), architecte qui réalisa entres autres l’ancien tribunal (<a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2021/07/28/pierre-pecaud-architecte-6329477.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2021/07/28/pierre-pecaud-architecte-6329477.html</a> )</span></p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong> </strong></span></p></td></tr><tr style="height: 478.719px;"><td style="width: 43.9973%; height: 478.719px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445860" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/335958136.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="273" height="364" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 478.719px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Peneau </strong>Louis-Julien-René-Marie (Saint-Nazaire décembre 1891 – 23 août 1914 Bierre (Belgique), caporal fourrier au 77<sup>e</sup> régiment d’Infanterie, mort pour la France tué à l’ennemi. La famille Peneau, originaire de Le Loroux-Bottereau, pratiquait le négoce de vin.</span></p></td></tr><tr style="height: 113.562px;"><td style="width: 43.9973%; height: 113.562px;"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"> </span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 113.562px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Perigaut</strong> Yves (Saint-Nazaire 11 janvier 1885 - 16 novembre 1914 Avesnes-le-Comte), du 241 d’infanterie, mort pour la France le 16 novembre 1914 de ses blessures, citation, croix de guerre avec étoile de bronze.</span></p></td></tr><tr style="height: 329.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 329.375px;"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6447901" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/00/3033440779.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="227" height="303" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 329.375px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Phelipot & Bely </strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Jean François Bely, (Paimboeuf 15 février 1806 - 28 mai 1888 Saint-Nazaire), tonnelier, cafetier, époux de Marie Louise Hardois (Paimboeuf 2 mars 1819 - 27 mai 1903 Nantes). Leur fille, Caroline Marie (née à Paimboeuf le 15 octobre 1837), épousa le 11 février 1863 à Saint-Nazaire, Gustave Marie Phelipot (Saint-Pierre (Saint-Pierre Miquelon) 31 janvier 1827 – 18juin 1886 Saint-Nazaire), capitaine au long cours de la Compagnie Générale Transatlantique, d’où un fils : Léonce Louis Octavien Phelipot (Marseille 1872 - 26 janvier 1884 Saint-Nazaire).</span></p></td></tr><tr style="height: 295.547px;"><td style="width: 43.9973%; height: 295.547px;" width="219"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6446064" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/1606724825.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 295.547px;" width="385"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Picaud</strong>, famille de commerçants et d’industriels, du « Dé d’Argent » et de la « Laine Picaud » ( <a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2022/06/28/de-d-argent-la-famille-picaud-6389151.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2022/06/28/de-d-argent-la-famille-picaud-6389151.html</a> )</span></p><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong><span style="background: white;"> </span></strong></span></p></td></tr><tr style="height: 254.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 254.375px;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6446404" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/540551076.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></td><td style="width: 56.0892%; height: 254.375px;"><p><span style="color: #000000;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Pigault de Lépinoy</strong>, Étienne Amant Constant Marie Fidèle, (Ondres 24 juillet 1838 - 18 mars 1896 Saint-Nazaire), était boulanger, s</span><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">on fils, Théodore Etienne </span><strong style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Pigault de Lépinoy</strong><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">, (Saint-Nazaire 7 janvier 1891 - 15 décembre 1914 – Doullens), soldat de 2</span><sup style="font-family: 'times new roman', times, serif;">e</sup><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"> classe 18</span><sup style="font-family: 'times new roman', times, serif;">e</sup><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"> régiment de Dragons, 1er escadron,, mort pour la France de ses blessures à l’hôpital militaire central de Doullens.</span></span></p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong><br /></strong></span></td></tr><tr style="height: 366.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 366.375px;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6445861" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/2634704202.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="258" height="344" /></span></td><td style="width: 56.0892%; height: 366.375px;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Pinguet </strong>Alphonse (Saint-Benoit-du-Sault 16 décembre 1832 – 7 janvier 1888 Saint-Nazaire), architecte, on lui doit les halles de Méan et les villas de Porcé, mais aussi les égouts de la ville (<a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2020/09/20/alphonse-pinguet-6264715.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2020/09/20/alphonse-pinguet-6264715.html</a> ) ; l’un de ses fils fut lui aussi architecte et réalisa certains monuments funéraires du cimetière, dont l’enfeu de la famille Delzieux.</span></td></tr><tr style="height: 435.188px;"><td style="width: 43.9973%; height: 435.188px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445862" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/2831708581.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="264" height="352" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 435.188px;"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong><span style="background: white;">Plessix </span></strong><span style="background: white;">Joseph-Emmanuel Plessix (Vallon 28 novembre 1806 - 16 mai 1870 Saint-Nazaire), marié 1ère Céleste Durant (+ 14 juin 1855 Nantes) ; 2e à Saint-Nazaire le 28 décembre 1868 avec Elodie-Marie Brevet (°Nantes 1er novembre 1837). Il fut propriétaire du manoir du Sable et de la ferme de La Fosse à Sautron.</span></span></p></td></tr><tr style="height: 266.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 266.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6447891" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/1762343262.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 266.375px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Pocu</strong><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"> Georges (Saint-Nazaire 1889 - 29 septembre 1914), mort pour la France.</span></span></p></td></tr><tr style="height: 307.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 307.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><img id="media-6446391" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/587735978.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="211" height="281" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 307.375px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Portal </strong>Jean François (Miramont-de-Comminges 6 octobre 1859 - 10 septembre 1920 Saint-Nazaire), était chef éclusier.</span></p></td></tr><tr style="height: 354.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 354.375px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> <img id="media-6446387" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/02/2826885531.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="246" height="328" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 354.375px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong><span style="background: white;">Poussié</span></strong><span style="background: white;"> Marc-Raoul (Châtillon-Coligny 9 octobre 1879- La Baule-Escoublac 20 mai 1947), docteur en médecine, chirurgien à Saint-Nazaire, où il possédait une clinique rue de Pornichet, sauva la vie de Marthe Richard.</span></span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">( <a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/04/13/notes-sur-les-familles-poussie-et-thomas-de-closmadeuc-6143587.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/04/13/notes-sur-les-familles-poussie-et-thomas-de-closmadeuc-6143587.html</a> )</span></p></td></tr><tr style="height: 393.766px;"><td style="width: 43.9973%; height: 393.766px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445863" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/561732329.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="244" height="325" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 393.766px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Renaud</strong>,<strong> </strong>famille d’entrepreneurs originaire de Redon.</span></p></td></tr><tr style="height: 431.141px;"><td style="width: 43.9973%; height: 431.141px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> <img id="media-6447904" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/1491592077.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="205" height="273" /></span></p><p style="text-align: center;"> </p></td><td style="width: 56.0892%; height: 431.141px;" width="385"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Rossignol</strong> Gabriel (Serley 13 février 1839 – 19 juin 1887 Saint-Nazaire), maitre menuisier, adjoint à la mairie de Saint-Nazaire, « <em>homme de bien »</em></span></p></td></tr><tr style="height: 94.5px;"><td style="width: 43.9973%; height: 94.5px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 94.5px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Saulnier </strong>Louis Marie (Saint-Nazaire 28 juillet 1897 -28 janvier 1919 Paris 3<sup>e</sup>) mort pour la France de ses blessures.</span></p></td></tr><tr style="height: 266.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 266.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> <img id="media-6447876" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/2789508591.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 266.375px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Serveaux</strong> Fréderic Fernand (Saint Pierre de La Réunion 14 janvier 1870 – 4 février 1950 Nantes), pilote-major à la Compagnie Général Transatlantique. C’est lui qui mit la coque du Normandie dans la forme Joubert pour son armement.</span></p><p style="text-align: justify;" align="JUSTIFY"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><span style="font-size: 12px; font-family: -apple-system, BlinkMacSystemFont, 'Segoe UI', Roboto, Oxygen, Ubuntu, Cantarell, 'Open Sans', 'Helvetica Neue', sans-serif;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong> </strong></span></span></span></p></td></tr><tr style="height: 266.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 266.375px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> <img id="media-6446763" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/01/3109247654.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 266.375px;"><p style="text-align: justify;" align="JUSTIFY"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><span style="font-size: 12px; font-family: -apple-system, BlinkMacSystemFont, 'Segoe UI', Roboto, Oxygen, Ubuntu, Cantarell, 'Open Sans', 'Helvetica Neue', sans-serif;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Tahier de Kervaret</strong></span> </span>Aimable-Geneviève (1801 - Nantes 11 novembre 1860), religieuse dans l'Ordre de Saint-Louis de Gonzague en la communauté de La Providence à Nantes, son père fut maire de Saint-Nazaire durant la Restauration, et possédait le domaine du Parc à L'Eau.</span></p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong> </strong></span></p></td></tr><tr style="height: 424.766px;"><td style="width: 43.9973%; height: 424.766px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445865" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/3669775528.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="267" height="356" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 424.766px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Toscer</strong> Pierre, ingénieur aux Chantiers de la Loire, désigné maire de 1941 à 1945 malgré son refus, il sauva la vie de nombreux Nazairiens de la barbarie de l’Occupant. <a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2014/04/08/pierre-toscer-5342884.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2014/04/08/pierre-toscer-5342884.html</a> </span></p></td></tr><tr style="height: 353.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 353.375px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> <img id="media-6446379" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/2832015322.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="245" height="327" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 353.375px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Million de Villeroy </strong>Henri (1829-1894), possédait des terres au marais d’Ust à Saint-Nazaire à la fin du 19<sup>e</sup> siècle, mais il laissa ses enfants dans la misère : sa fille Marie (1876-19..), fut lingère ; son fils Gabriel (1871-1925), fut manœuvre, il laissa à son tour une fille, Marguerite (1911-19…), qui fut institutrice</span></p></td></tr><tr style="height: 388.766px;"><td style="width: 43.9973%; height: 388.766px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445866" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/1947403006.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="240" height="320" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 388.766px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Vaillot </strong>Georges Emile (Saint-Nazaire 18 juin 1926 - 6 juin 1944 Caen). Georges avait fui les bombardements de Saint-Nazaire en 1943 et fut tué durant ceux de Caen en 1944.</span></p></td></tr><tr style="height: 113.562px;"><td style="width: 43.9973%; height: 113.562px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 113.562px;"><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><span style="color: #000000;"><strong>Verdier (</strong>famille).<strong> </strong> Jacques Verdier (Saint-Nazaire </span><span style="color: black;"> 1867 – 20 septembre 1934 Saint-Nazaire), était chiffonnier. ; es sœurs ne se marièrent jamais, et son frère Pierre n'eut pas d'enfant de son union.</span></span></p></td></tr><tr style="height: 369.766px;"><td style="width: 43.9973%; height: 369.766px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445867" style="margin: 0.7em 0px; float: left;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/4248906105.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="226" height="301" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 369.766px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Villers de Hesloup (de). </strong>Edmond de Villiers de Heloup, (Alençon 14 juin 1807 - 19 mai 1865 Saint-Nazaire), et de son épouse, Angélique-Mélanie Grolsleau, possédaient une propriété face à l'océan à l'emplacement de l'actuelle Place Franklin Roosevelt, ils financèrent plusieurs œuvres sociales nazairiennes, et la restauration de l’ancienne église Notre-Dame d’Espérance (<a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/02/04/ancien-chapelle-notre-dame-d-esperance.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/02/04/ancien-chapelle-notre-dame-d-esperance.html</a> )</span></p></td></tr><tr style="height: 266.375px;"><td style="width: 43.9973%; height: 266.375px;" width="219"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> <img id="media-6447871" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/2078967411.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 56.0892%; height: 266.375px;" width="385"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Yver</strong>, famille d’entrepreneur en plomberie.</span></p></td></tr></tbody></table><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Curiosités : </strong></span></p><table style="height: 2599.67px; width: 97.0458%;"><tbody><tr style="height: 431.797px;"><td style="width: 45.2744%; height: 431.797px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445756" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/3116194671.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="223" height="297" /></span></p></td><td style="width: 54.7256%; height: 431.797px;"><div class="discreet text-large"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><span class="match rotate"><strong>Almond</strong> Harry John mort sur le bateau qui l'amenait à (1857- </span>12 mars 1916)</span></div></td></tr><tr style="height: 512.422px;"><td style="width: 45.2744%; height: 512.422px;"><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445878" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/00/1671116501.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="277" height="369" /></span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p></td><td style="width: 54.7256%; height: 512.422px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Deo d'Otoya</strong></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Cette tombe couverte de carreaux de mosaïque est celle de Marie Louise Gabrielle Stamilava Sviontek (mal orthographié Sviontozki ou Sivionsecki et encore Sviondezki selon les actes) (Vilnius 1849 - 14 décembre 1919 Saint-Nazaire), veuve de Gustave Czechowiez d'Ostoya (°1842), (issue d’une famille de la noblesse polonaise ruinée il était employé des chemins de fer quand il m’épousa à Loudun), mère de Sophie Jeanne d'Ostoya Czechowiez (Mirebeau 17 septembre 1876 – 16 septembre 1956 Marseille), elle-même marié le 18 mai 1922 à Saint-Brévin avec Henri Edouard Déo (Auch 12 juillet 1866 - 1955 Saint-Nazaire), cuisinier.</span></p></td></tr><tr><td style="width: 45.2744%;"><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6447882" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/02/752068314.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /></span></p></td><td style="width: 54.7256%;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><strong>Hogg</strong> Robert, (Boston 4 août 1864 - 8 octobre 1899 hôpital civil de Saint-Nazaire), tombe écrite en anglais ; l'acte de décès mentionne : " <em>célibataire de passage à Saint-Nazaire, fils de John Hogg et de Margareth</em> ". </span></p></td></tr><tr style="height: 434.016px;"><td style="width: 45.2744%; height: 434.016px;" width="157"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445758" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/01/904958239.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="242" height="299" /></span></p></td><td style="width: 54.7256%; height: 434.016px;" width="447"><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Jouet</strong> Jean, franc-maçon, son monument est un menhir qui comporte des signes maçonniques gravés.</span></p></td></tr><tr style="height: 286.219px;"><td style="width: 45.2744%; height: 286.219px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445759" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/00/3299221019.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="223" height="167" /></span></p></td><td style="width: 54.7256%; height: 286.219px;"><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><strong>Morel </strong>Marcel, malgré la mention de chevalier de la Légion d'Honneur et celle de mort pour la France, les archives sont muettes à son propos. Cette plaque pourrait avoir été placée par une fille mère qui désirait cacher son état... </span></p></td></tr><tr style="height: 431.797px;"><td style="width: 45.2744%; height: 431.797px;"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6445760" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/3125952335.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="223" height="297" /></span></p></td><td style="width: 54.7256%; height: 431.797px;"><p style="text-align: left;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><strong>Smith </strong>deux sujets britanniques mort à leur débarquement à Saint-Nazaire</span></p></td></tr><tr style="height: 493.422px;"><td style="width: 45.2744%; height: 493.422px;" width="157"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6447873" style="float: left; margin: 0.2em 1.4em 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/01/2411179985.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" /><img id="media-6445761" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/02/873700874.jpg" alt="la-briandais,cimetière,saint-nazaire" width="264" height="352" /></span></p></td><td style="width: 54.7256%; height: 493.422px;" width="447"><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Tombes des religieuses de la congrégation des Filles de la sagesse, congrégation de religieuses hospitalières qui officiait à l’hôpital de Saint-Nazaire.</span></p><p> </p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Répartie sur quatre concessions, sa dernière sépulture date de septembre 1986.</span></p><p> </p></td></tr></tbody></table><p> </p><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><a style="color: #000000;" href="#_ftnref1" name="_ftn1">[1]</a> Le Cimetière de La Porterie avait été créé en 1783 à la porte de la ville en raison de l’édit royal qui obligea d’inhumer les corps hors des enceintes urbaines. Il était le 3<sup>e</sup> cimetière ouvert de la ville, ce qui fait de celui de La Briandais le 4<sup>e</sup> ouvert.</span></p>
Loup
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Avalix, Le Pé, les fermes Miner et du Petit Bois
tag:saint-nazaire.hautetfort.com,2023-04-02:6436405
2023-04-02T19:30:22+02:00
2023-04-02T19:07:00+02:00
Avalix n’est pas nommé d’après un guerrier celte résistant à la tribu...
<p style="background: white; text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Avalix n’est pas nommé d’après un guerrier celte résistant à la tribu Municipale, même si à la fin de son carnaval, c’est l’effigie du maire qui trône sur une poubelle dans le rôle du roi Carnaval, malmené par les irréductibles Bretons d’Avalix. Pas plus qu’il ne doit son nom à un personnage du romancier Jean Faillier agissant dans « Brume sous le grand pont ».</span></p><p style="background: white; text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6437009" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/01/2805371983.jpg" alt="maire.jpg" width="200" height="242" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><em>Le roi Carnaval 2023</em></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="background: white; text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Avalix est un mot-valise composé de celte et de bas latin, qui signifie « <em>petite vallée plantée de pommiers</em> », ce qui correspond parfaitement à l’aspect géographique du lieu, et au souvenir de la présence de cidreries à cet endroit durant l’Ancien Régime.</span></p><p style="background: white; text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"> </span></p><p style="background: white; text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Avalix fut une seigneurie concédée par les vicomtes de Saint-Nazaire à un vassal, comprenant un village d’Avalix (dit parfois Grand Avalix), à l’emplacement de l’ancien hôpital, et un hameau Le Petit Avalix, une ferme nommée Miner. A cela s’ajoutaient différentes pièces de terre, qui prirent le nom de Pez. En effet, le Pé, est la déformation de « Pez », qui signifie « pièce de terre » en breton. Il s’agit à l’origine d’un arrière-fief du fief d’Avalix appartenant en propre au seigneur du lieu. Le Pé était le nom du manoir, auquel s’ajoutait un moulin, et deux grandes pièces de terre : l’iles du Pé et l’île du Moulin du Pé (île désigne un ensemble de terrain entouré de quatre routes). Avalix fut aussi le siège de l’une des frairies de la paroisse de Saint-Nazaire, consacrée à Saint Salomon de Bretagne.</span></p><p style="background: white; text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"> </span></p><p style="background: white; text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Le nom des seigneurs d’Avalix s’est perdu. On sait uniquement qu’en 1638, Pierre Chotard, bourgeois de la paroisse de Donges, rendit aveu à Gabriel de Goulaine au nom des enfants mineurs du sieur d'Avalix, orthographié Avallis (AD44 E558). Ceux-ci n’ont vécu longtemps, car en 1709 après Avalix et Le Pez étaient redevenus fiefs des vicomtes de Saint-Nazaire.</span></p><p style="background: white; text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6437013" style="margin: 0.7em 0px;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/00/291296697.jpg" alt="avalix-saint-nazaire" width="530" height="695" /></span></p><p style="background: white; text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"> </span></p><p style="background: white; text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">On retrouve dans les archives de la Vicomté les noms d’Avalix et du Pez dans les aveux et dénombrements, mais aussi pour la location de terre. La maison noble du Pez est mentionnée en 1706 comme appartenant au vicomte de Saint-Nazaire, Jean-Toussain de Carné, puis, en 1763 et 1781, à Françoise Raoul de La Guibourgère et son époux Louis-François-Elis Camus de Pontcarré en (AD44 E354 & E570).</span></p><p style="background: white; text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"> </span></p><p style="background: white; text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">La famille Camus de Pontcarré demeura encore propriétaire des terres, moulin et manoir du Pé jusqu’en 1830, daté à laquelle ils liquidèrent l’ensemble des terres et bâtiments qu’ils possédaient à Saint-Nazaire, préférant réinvestir dans leur domaine du château de La Guibourgère à Teillé. Le Pez, devenu le Pé, pour ne pas être confondu avec Le Pez situé à Saint-Marc, avait été constitué en ferme à la Révolution. Cette ferme fut acquise par Auguste Lorieux, (Le Croisic 14 décembre1796 - 24 juillet 1842 Eaux-Bonnes). Sans enfant de son mariage avec Louis Métois, il légat ses biens à son frère Théodore Lorieux, (Le 22 avril 1800 - 17 octobre 1866 Nantes), ingénieur en chef puis inspecteur général des Mines, qui améliora le domaine en construisant un second moulin (dont les ruines subsistent dans le jardin du 59 rue André Chénier), et en créant des carrières de gneiss qui servirent à la construction de la ville nouvelle de Saint-Nazaire après 1857. La carrière la plus importante subsiste aujourd’hui sous la forme d’un étang, à proximité du Château d’Eau du Pé, au cœur de l’îlot entre la rue des Mules et la rue de l’Ile du Pé. Il eut plusieurs enfants de son union avec Marie-Louise-Stéphanie Faulcon de Marigny, dont l'ainé, Edmond, (Nantes 16 avril 1832 – 16 janvier 1909 Paris-16), poursuivit l’exploitation des carriers jusqu’en 1877, puis après avoir inondé la principale carrière, y construisit une ferme qu’il baptisa du nom de « Petit Bois ».</span></p><p style="background: white; text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">C’est sa fille d'Edmond, Anne-Louise-Désirée Lorieux, (Nantes 3 novembre 1864 - 18 décembre 1945 Paris-8), qui hérita des terres et bâtiments du Pé et du Petit Bois. Celle-ci était la veuve du physicien Henri Becquerel, (Paris-2 15 décembre 1852 - 25 août 1908 Le Croisic). A partir de 1919, elle lotit ses terres, ce qui entraina la constitution d 'un hameau qui pris le nom de Petit-Bois, et en 1931 comportait une cinquantaines d'habitants. N’ayant pas d’enfant, l’héritage d'Anne Lorieux fut vendu pour être partagé entre ses neveux Lorieux et Deslandres.</span></p><p style="background: white; text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6437001" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/01/2056106292.png" alt="petit-bpis-pé-saint-nazaire" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><em>La ferme du Petit Bois, avec sa carrière transformée en étang.</em></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="background: white; text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Durant la Seconde-guerre-mondiale, la ferme du Petit Bois fut requestionnée par l’occupant, et, au grand étonnement des voisins, les soldats qui y logeaient, nageaient nu dans l’étang.</span></p><p style="background: white; text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"> </span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-6437029" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/2725584086.jpg" alt="etang-petit-bois-ile-du-pe-saint-nazaire" /></p><p style="text-align: center;"><em><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">L'étang du Petit bois tel qu'on le voit depuis la rue.</span></em></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="background: white; text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Le moulin du Pé semble avoir disparu durant l’entre-deux-guerres. Le manoir fut pour sa part fortement remanier à la fin du 19ème siècle, c’est aujourd’hui la maison divisée en deux habitations des 77 et 79 boulevard Jean de Neyman. C’est sa présence qui a fait que l’immeuble du 303 boulevard du docteur René Laennec, construit sur une division de sa parcelle, porte le nom de « Le Manoir ».</span></p><p style="background: white; text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6437025" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/01/4142294638.2.jpg" alt="manoir-avalix-le-pe-saint-nazaire" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><em>Le manoir, aujourd'hui méconnaissable.</em></span></p><p style="background: white; text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"> </span></p><p style="background: white; text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Le village d’Avalix, et le hameau du Petit Avalix furent rasés pour faire place à l’hôpital au moment de la Reconstruction. Ils comportaient à eux deux une vingtaine d’habitants avant l’Occupation </span></p><p style="background: white; text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">La ferme Miner était une chaumière qui au milieu du 19e siècle appartenait à Julien Denier. Elle fut requestionnée par l’Armée étasunienne en 1917. Elle fut requestionnée par l’occupant allemand en 1940. Incendiée, il n’en restait que des ruines à côté desquelles le dernier propriétaire édifia une maison provisoire en bois, dans laquelle il finit ses jours avec la réputation d’être un original. A sa mort au début des années 1980, la ferme fut acquise par un promoteur qui construisit le lotissement Laennec. Les propriétaires trouvent régulièrement dans leur jardin des boutons d’uniformes étasuniens et de la Kriegsmarine, ainsi des douilles.</span></p>
Loup
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Et si les gens lisaient les archives ?
tag:saint-nazaire.hautetfort.com,2022-11-06:6410330
2023-04-27T17:29:08+02:00
2022-11-06T09:59:00+01:00
Voici un ouvrage de la Société de géographie commerciale de Saint-Nazaire...
<p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Voici un ouvrage de la Société de géographie commerciale de Saint-Nazaire publié en 1907, intitulé " <strong><em>Saint-Nazaire, son port, son commerce</em></strong> "</span></p><p> </p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6399578" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/1103665376.jpg" alt="IMG_20220329_141448.jpg" /></span></p><p> </p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Et voici ce qui est écrit page 17 :</span></p><p> </p><p><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6399576" style="text-align: center; margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/1725253842.jpg" alt="IMG_20220329_142011.jpg" width="564" height="257" /></span></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Il existe plusieurs exemplaires de cet ouvrage à Saint-Nazaire (celui que je vous présente appartenait à Pierre Norange et est annoté par lui), vous en trouverez un exemplaire à la Médiathèque Etienne Caux, et les Archives municipales s'en sont fait prêter un exemplaire il y a un an pour copie. Ce n'est donc pas une découverte, c'est un document à lire et à analyser et qui est accessible au public pour peu qu'on se donne la peine de le consulter. <span style="text-decoration: underline;"><strong>Et quand j'écris qu'il est à analyser, c'est parce qu'il ne faut pas en tirer des conclusions hâtives et définitives ! On ne fait pas de l'historiographie à coup de compilation de publications !</strong></span></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Aussi, quand il est affirmé que le nom " <em class="">Chantiers de l’Atlantique </em>" est donné des 1861, <span style="text-decoration: underline;">c'est totalement faux</span>. <strong>Le nom est donné, après la création, l</strong><strong>e 21 juin 1900. Le texte de la Société de Géographie est en cela très clair.</strong></span></p><p> </p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Je remercie tous ceux qui m'ont envoyé la copie d'une coupure de presse ce matin même si pour ma part cela ne me fait </span><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 16px;">rien</span><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 16px;"> </span><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">découvrir.</span></p><p> </p><p> </p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Pour les questions subsidiaires qui ont été soulevées : voici la liste des membres du bureau de la Société de géographie commerciale de Saint-Nazaire en 1907 :</span></p><p> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6399575" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/01/1281268355.jpg" alt="IMG_20220329_141500.jpg" width="521" height="695" /></span></p><p> </p><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Concernant Etienne Port et Paul-Joseph-Henri Barbara, vous trouverez des éléments biographiques dans cet article consacré à l’ancien musée : <a href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2020/10/01/le-musee-disparu-de-saint-nazaire-6267147.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2020/10/01/le-musee-disparu-de-saint-nazaire-6267147.html</a></span></p><p> </p><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Concernant Théophile Griffon du Bellay, j'en ai fait une rapide biographie de lui en 2019 : <a href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/04/06/un-explorateur-a-saint-nazaire-6141851.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2019/04/06/un-explorateur-a-saint-nazaire-6141851.html</a> </span></p><p> </p><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Sur Amédée Bachelot-Villeneuve ici : <a href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2012/07/28/notes-sur-la-famille-bachelot-villeneuve.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2012/07/28/notes-sur-la-famille-bachelot-villeneuve.html</a></span></p><p> </p><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Et enfin sur Alexandre Galibourg : <a href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2012/11/02/maitre-alexandre-galibourg.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2012/11/02/maitre-alexandre-galibourg.html</a></span></p><p> </p><p> </p>
Loup
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Dé d'Argent, la famille Picaud
tag:saint-nazaire.hautetfort.com,2022-06-28:6389151
2023-05-16T20:33:28+02:00
2022-06-28T17:39:00+02:00
Le Dé d’Argent est un grand magasin aujourd’hui disparu qui a laissé une...
<p style="text-align: justify;"><span style="color: black; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Le <em>Dé d’Argent</em> est un grand magasin aujourd’hui disparu qui a laissé une trace importante dans la mémoire nazairienne. Quatre générations de Nazairien l’ont fréquenté, pour s’y fournir en mercerie, vêtement d’enfant, et accessoires de mode.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: black; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">L'histoire de ce commerce, véritable institution nazairienne est aussi celle d'une famille, la famille Picaud.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;"><img id="media-6368517" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/3267215506.jpg" alt="dé,d'argent,picaud,georges,laine,saint-nazaire,la-baule,escoublac,mercerie" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;"><em>Georges Picaud, (avec le chapeau), et son personnel du Dé D'argent en 1930, (coll. P.).</em></span></p><p style="text-align: center;"> </p><p><span style="color: black; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">En 1900, au 8 de la rue de Nantes, (future rue Henri Gautier), Eugène Picaud, né à Vannes 18 février 1876, marchant grossiste en mercerie, et son épouse, Adrienne-Ursule-Rosalina-Eugénie Seng, née à Fontenay le Comte 4 mars 1875, s'établirent. L'immeuble comprenait une boutique avec deux grandes vitrines, des réserves, un atelier de couture et de modiste au premier étage, et un vaste logement au second. C'est là que naquit leur fils, Georges-Octave Picaud, le 1er févier 1903.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: black;">Le commerce étant très fleurissant, les Picaud acquirent en 1904 une partie de la dune de Villes-Martin, qu'ils firent araser pour y construisirent une maison de plaisance, Ker Georges. A l'époque le boulevard de l'Océan, futur boulevard Albert Ier, n'allait pas jusqu'à Villes-Martin. Celle maison a depuis disparu au profit de l'immeuble <em>Le Guynemer, </em>boulevard Albert Ier.<em> </em>Cependant, la parcelle fut divisée en 1911 par les Picaud pour la construction d'un pavillon avec garage nommé Ker Adrienne. La bâtisse n'étant à l'origine destinée que pour être habitable la belle saison, jusqu'à des travaux en 2001, le parquet du salon était posé à même le sable<span style="color: #000000;">, les toilettes étaient au bout de jardin, et il y avait une citerne qui, quand elle était vide, signalait la fin des vacances. Ce pavillon balnéaire existe toujours, au 91 boulevard Albert Ier. Il a bénéficié d'une large campagne de travaux qui en ont fait une charmante maison très agréable à vivre. Cette maison a la particularité avoir été louée de 1945 à 1958 par François Blancho, qui y a vécu avec son épouse, son fils, sa bru, et sa petite fille. Georges Picaud hérita Ker Adrienne de ses parents, (son frère puiné, Raymond, était décédé à l'âge de 18 ans dans la maison à la suite d'une maladie, le 11 août 1932), et la vendit en 1973.</span></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;"><img id="media-6368543" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/01/1170939873.jpg" alt="dé,d'argent,picaud,georges,laine,saint-nazaire,la-baule,escoublac,mercerie" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;"><em>Ker Adrienne le 28 juin 2022</em></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><span style="color: black;">Georges Picaud devint co-directeur du Dé d'Argent à sa majorité. Avec la présence des troupes étasunienne, le commerce s'était fortement développé. Les Picaud y vendaient de mercerie, passementerie, ganterie, maroquiner, laine à tricoter, mode, parfum, bonneterie, chemiserie, layettes, au détail et en gros, fournissant certains commerces d'épiceries de la côte en matériel de couture, de broderie et de tricot</span>.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p><span style="color: black; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Georges- épousa à Saint-Nazaire, le 18 juin 1928, Giselle Graziana, né à Saint-Nazaire 24 novembre 1905 (déclarée le 26), fille du plus gros entrepreneur en marbrerie et pompes funèbres de la ville. Le couple s'établit au 2 de la rue Charles Brunelière. Il y naquit leur fille Yolande en 1929.</span></p><p><span style="color: black; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">En 1931 le Dé d'Argent était l'un des commerces qui employaient le plus de personnes à Saint-Nazaire. Le recensement de 1931 nous permet de mettre des noms sur les visages de la photographie de 1930 publiée en tête de cet article. </span></p><p><span style="color: black; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Employées de magasin : Jeanne Auffray, (née à Saint-Nazaire en 1913 ) ; Marthe Bili, (née à Souvigné en 1909), et sa sœur Marie Bily, (née à Saint-Nazaire en 1912) ; Louisa Bonneau, (née à Saint-Nazaire en 1905) ; Augustine Bouet, (née à Nantes en 1889) ; Eliane Crolais, (née à Saint-Nazaire en 1913) ; Fernande Fromenty , (née à Dalaguet en 1909) ; Madeleine Gauthier, (née à Saint-Nazaire en 1914) ; Madeleine Le Meul, (née à Saint-Nazaire en 1913) ; Jeanne Monnier, (née à Saint-Nazaire en 1900) ; Lucienne Perrin, (née à Saint-Nazaire en 1912) ; Porcher Yvonne, (née à Saint-Nazaire en 1910) ; Camille Saunier, (née à Saint-Nazaire en 1901) ; Germaine Welhelme, (née à Saint-Nazaire en 1900) ; et Lucienne Schmitt, (née à Saint-Nazaire en 1912), figure nazairienne qui eut charge en avril 1930 d’accueillir en costume nazairienne le président Doumergue<a name="_ftnref1"></a><a href="#_ftn1">[1]</a>.</span></p><p><span style="color: black; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Il y avait aussi une piqueuse : Jeanne Languedoc, (née à Fort de France en 1886)</span></p><p><span style="color: black; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Les modistes : Jeanne Bodiguel, (née à Saint-Nazaire en 1909) ; Renée Busson, (née à Saint-Nazaire en 1915) ; Clémentine Hupin, (née à Saint-Nazaire en 1912) </span></p><p><span style="color: black; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Et une sténo dactylo, Paulette Fernay, (née à Noyant en 1914).</span></p><p> </p><p><span style="color: black; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">En raison des bombardements, les Picaud s'établirent à La Baule-Escoublac avec leur stock. Ils ouvrirent une boutique place Notre-Dame.</span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6368551" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/4110076418.jpg" alt="dé,d'argent,picaud,georges,laine,saint-nazaire,la-baule,escoublac,mercerie" width="641" height="204" /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: black; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Les Picaud firent reconstruire un nouvel immeuble au 44 avenue de la République à Saint-Nazaire. Leur commercé prenant place au rez-de-chaussée en 1958. Ils conservèrent cependant une succursale à La Baule au 125 avenue du Général de Gaulle.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6368548" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/02/155024656.jpg" alt="dé,d'argent,picaud,georges,laine,saint-nazaire,la-baule,escoublac,mercerie" /></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="color: black; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Eugène décéda le 9 septembre 1958 à La Baule-Escoublac, Adrienne le 12 mars 1962 ; ils reposent tous deux au cimetière de La Briandais, dans un enfeu à trois places avec le frère ainé d'Eugène. Leur fils, Georges, avait pour sa part fait le choix d'aller s'établir à Paris au 2 boulevard Suchet. Il acquit en 1957 une manufacture de laine en faillite, et fonda l'entreprise Laines Georges Picaud, que toutes les grands-mères nazairiennes ont employée pour leurs tricots, comme celle d'Alger et de Beyrouth... Georges décéda le 16 septembre 1987 à Paris 16e. Malgré la grande réputation de ses produits, la vente de lainages en prêt-à-porter a mis à mal l'entreprise, et celle-ci ferma en 1988. Giselle Graziana-Picaud décéda le 22 janvier 1999 à Garches.</span></p><p> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><img id="media-6369621" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/00/3256278150.jpg" alt="dé,d'argent,picaud,georges,laine,saint-nazaire,la-baule,escoublac,mercerie" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><em>Enfeu Picaud au cimetière de La Briandais</em></span></p><p> </p><p> </p><p><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><a href="#_ftnref1" name="_ftn1">[1]</a> <a href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2016/11/20/coiffes-et-costumes-nazairiens-5876655.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2016/11/20/coiffes-et-costumes-nazairiens-5876655.html</a></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif;"> </span></p><p style="text-align: center;"> </p><p style="text-align: center;"> </p>
Loup
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L'aimant de Saint-Nazaire
tag:saint-nazaire.hautetfort.com,2022-06-15:6387086
2023-04-27T17:26:27+02:00
2022-06-20T14:20:00+02:00
L’aimant de Saint-Nazaire semble être la sardine qui bouche le port de...
<p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">L’aimant de Saint-Nazaire semble être la sardine qui bouche le port de Marseille, à écouter certains, il y aurait eu un rocher sur le bord de la Loire qui attirait à lui les métaux, dont les boulets de canon qu’on tirait dans l’estuaire, et déréglé les boussoles. Comme la sardine marseillaise, il y a une derrière cette galéjade une histoire vraie.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Origines de la légende :</strong></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Tout débute avec un article de monsieur de La Montre, professeur de mathématique et de philosophie, dans le <em>Journal des Savans</em> du lundi 6 août 1696, intitulé « <em>La cause physique de la déclinaison é variation de l’éguille aimantée</em> » :</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">« <em>On rencontre de prodigieuses masses d’aimant en plusieurs endroits de la terre ; l’Ile d’Elbe en est toute couverte ; dans la rivière de Loire près de son embouchure, vers Paimbeuf & S. Nasaire, il y a des Rochers d’aimant : enfon prés le Cape de la Rocque en Portugal, il y a une grande montagne toute d’aimant ; d’où il paroit qu’en plusieurs autres endroits de la terre, on peut rencontrer de ces grandes masses d’aimant, qui paroissent sur sa surface, où qu’il ne sont pas si enfoncées au dessous, que le tourbillon de la matiere magnetique qui circule autour de ces grans aimants, ne puisse agit fort loin à la ronde. En voila assez, pour nestre pas en peine de chercher ailleurs une cause particuliere capable d’alterer la cause générale</em>. »</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Cet article passa inaperçu, au moins pour la mention de Saint-Nazaire, mais 1764, le chanoine Jean-Joseph Expilly, publia, à Amsterdam, dans le tome 3 de son <em>Dictionnaire géographie, historique et politique des Gaules et de la France</em>, dans son article sur la Bretagne, au passage « <em>curiosités naturelles</em> », écrivit : « <em>feu monsieur l’abbé de la Montre avança dans le Journal des Savants di lundi 6 août 1696, que dans la rivière de Loire, près de son embouchure, entre Paimboeuf et Saint-Nazaire, il y a, auprès d’une moulin nommé La Noë, et son petit village appelé Ville st. Martin, un champ qu’on appel le champ d’aimant, parce que les cailloux qu’on trouve sur sa surface sont des pierres d’aimant. Il est vrai que leur vertu n’est pas grande ; mais il est présumé que si l’on se donnoit la pine de creuser bien avant dans la terre, on y trouveroit des pierres qui auroient plus de qualité que celle dont est parsemée la surface du champ. En effet, on nous mande d’un homme à qui appartient en partie le champ en question, ayant eu la curiosité de faire creuser dans un certain endroit, il en retira une pierre qui fut estimée deux cens pistoles. Lorsque que les vaisseaux entrent dans la Loire, ou en sortent, et qu’il se trouvent entre la pointe de Ville St. Martin, et un danger nommé les Morées, il est sûr que leur compas varient beaucoup plus qu’il ne font lorsqu’ils sont éloigné de cet endroit.</em> »</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;"><strong>Explications :</strong></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Le champ mentionné par le chanoine Jean-Joseph Expilly est aujourd’hui l’îlot urbain devant l’ancien moulin de la Noë, entre les rues Eugène Daviers, des ardoises, et Antoine Parmentier. En 1760 il appartenait à Mathieu Rouaud, sieur de La Villemartin, (Saint-Nazaire 26 janvier 1743 – Guérande 5 juillet 1803), alors avocat au Parlement, et il le partageait avec ses cousins Canuel de Mauve. Mathieu Rouaud de Villemartin, nous en avons déjà parlé dans un poste précédent, (<a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2014/06/13/famille-rouaud-de-villemartin-5390121.html">http://saint-nazaire.hautetfort.com/archive/2014/06/13/famille-rouaud-de-villemartin-5390121.html</a>), mais aussi dans un article paru en novembre 2018 dans le numéro 93 de la revue <em>Histoire & Patrimoine</em>. C’était un homme très instruit, qui versait dans les sciences mécaniques et naturelles, et c’est dont lui qui fut mentionné par le chanoine.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Quant aux aimants, ce sont des magnétites, c’est à dire des oxydes de fer de la famille des spinelles. On en trouve effectivement dans des jardins de la Villes-Martins, sous forme de petits cailloux gris-noirs, ou de pépites granuleuses oxydées de rouille brune, (mais pas sous la forme de cristaux). En les passant sur une meule, on obtient une face plate gris foncée qui aimante la limaille de fer ou une épingle de couturière. Le plateau de Villès-Martin-Kerlédé-Bonne-Anse est riche en pépites de magnétite, comme il est riche en cristaux de spinelle, ces petits cristaux rouge-violacé qui colorent parfois les plages après les orages, surtout au niveau de la plage de Bonne-Anse.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt;">Contrairement à ce que le chanoine Expilly écrivit, il n’y a pas de quoi perturber une boussole. Cependant, quelques capitaines qui firent échouer leur navire sur les Morées, à la Pointe de Villès-Martin, au cours du 18<sup>ème</sup> siècle, prétendirent que leurs instruments avaient été perturbés par la présence de ces aimants naturels…</span></p>
Loup
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Michel-Alexandre Magin, ingénieur de l'Estuaire de la Loire
tag:saint-nazaire.hautetfort.com,2022-06-13:6386746
2023-04-27T17:24:33+02:00
2022-06-13T03:44:00+02:00
A la suite de la conférence donnée vendredi dernier par la Mission des...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif;">A la suite de la conférence donnée vendredi dernier par la Mission des patrimoines de la Ville de Saint-Nazaire, vous avez été nombreux à me demander quelle était la carte comprenant une représentation du Phare d’Aiguillon au XVIIIe siècle et dont le nom n’avait pas été mentionné, (mais qui apparaissait cependant sur la projection). Cette carte, intitulée <em><span style="background: white;">« </span></em><em><span style="background: white;">Carte géométrique de l'Entrée de la Rivière de Loire par l'ingénieur de la Marine et de l'Académie de Marine, Michel Alexandre Magin, en 1757, mentionnant le manoir de Kerlédé et son bois de châtaigniers servants d'amers </span></em><em><span style="background: white;">», </span></em>est très connue, nous l'avons utilisée plusieurs fois pour illustrer ce blog en y prenant des éléments, et est téléchargeable sur Gallica, qui, il faut le préciser, fait une grossière erreur en l'attribuant à Nicolas Magin, mort bien longtemps avant sa réalisation ! En effet, cette carte a été réalisée en 1757 par l’ingénieur Michel-Alexandre Magin, neveu de Nicolas. Nous devons à Michel-Alexandre Magin la réalisation du phare d’Aiguillon et de la première Tour du Commerce.<img id="media-6364919" style="margin: 0.7em auto; display: block;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/2767228965.jpeg" alt="michel-alexandre, magin, saint-nazaire, carte, estuaire, loire, phare, aiguillon, 1757" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 12pt; color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif;"><em><span style="background: white;">Carte géométrique de l'Entrée de la Rivière de Loire par l'ingénieur de la Marine et de l'Académie de Marine, Michel Alexandre Magin, en 1757, mentionnant le manoir de Kerlédé et son bois de châtaigniers servants d'amer</span></em></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Il convient ici d’expliquer qui est Michel-Alexandre Magin.</span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Michel-Alexandre Magin, (né vers 1713 – décédé avant 1787), est originaire de Fécamp, où sa famille est connue depuis 1626 en la personne de son arrière-grand-père Jean Magin, avocat à la cour. Son grand-père, Pierre Magin, marchand drapier, est mort en 1688 ; son père, Charles, (1670-1738), était chirurgien. </span></p><p><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Michel-Alexandre Magin est aussi le neveu de Nicolas, (1663-1742), chargé des levés et cartes des ports et cotes de Normandie en 1696, ingénieur en chef du Roi à Fécamp, chargé en outre des villes et port de Rouen et Pont de l’Arche en 1702 ; et de Jean, (1669-1741), fut cartographe affecté à Fécamp sous les ordres de son frère. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Elève de l’hydraulicien Jean-Rodolphe Perronet, Michel-Alexandre Magin fut nommé sous-ingénieur de la Marine en mars 1744. Il fut sous les ordres de l’intendant de Guyenne, Louis-urbain Aubert de Tourny, de 1743 à 1755, et procéda à des travaux cartographiques destinés à améliorer la navigation entre l’estuaire de la Gironde et Bordeaux. Il devient à cette période, le 31 août 1752, membre ordinaire de l’Académie de Marine. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">En 1755, Michel-Alexandre est affecté à Nantes sous les ordres du duc d’Aiguillon, commandant en chef en Bretagne, où il fut chargé des travaux hydrographiques et cartographiques à l’embouchure de la Loire et de poursuivre les travaux de régularisation des cours inférieurs de la Loire, débutés en 1738, afin d’en améliorer la navigation, réalisant pour cela à Saint-Nazaire le Phare d’Aiguillon et la première Tour du Commerce, prévoyant aussi la Balise des Morées, qu’il ne put construire car les États de Bretagne refusèrent de poursuivre son financement en 1768, lors de la réunion des États à Saint-Brieuc. Les Etats de Bretagne dépensèrent au total, entre 1738 et 1768, pour les travaux de l’Estuaire la somme considérable de 283.000 livres, somme à laquelle il faut ajouter 40.000 livres accordées entre 1754 et 1787 par le Conseil d’Etat depuis Versailles. Les Etats étaient en conflit avec le duc d’Aiguillon qui se comportait incorrectement, et contre la pression fiscale du régime de Louis XV. Malgré une rallonge de 77.000 livres par le gouvernement royal en 1769, les travaux de Magin dans l’Estuaires furent suspendus. Ce qui explique la Balise des Morées ne fut finalement réalisée qu’en 1777 par l'ingénieur des Ponts et Chaussées Groleau, et que la Tour du Commerce fut financée par les commerçants et armateurs de Saint-Nazaire, Paimboeuf et Nantes<a style="color: #000000;" href="#_ftn1" name="_ftnref1">[1]</a>.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">L’historienne Geneviève Massard-Guilbaud, directrice d'études à l'EHESS, précise dans un article paru dans « <em>Les trames de l’histoire : entreprises, territoires, consommations, institutions. Mélanges en l’honneur de Jean-Claude Daumas</em> », (Besançon, Presses universitaires de Franche-Comté, 2017, p.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">473-483) : « <em>C’est donc sur ordre de d’Aiguillon que l’ingénieur Magin entreprit en 1755 d’importants travaux d’aménagement de l’estuaire de la Loire. En quinze ans, il fit construire plusieurs types d’ouvrages qui correspondaient globalement à ce qu’avaient préconisé les études effectuées avant son arrivée. Les bras secondaires de la Loire furent barrés, des épis visant à concentrer les eaux dans un étroit chenal construi, les îles reliées entre elles par des barrages, des digues latérales censées empêcher les pertes d’eau édifiées, des jetées construites dans deux des avant-ports. Magin appliquait ainsi à la Loire la méthode qu’il avait déjà employée dans les estuaires de Bordeaux et de Rouen. Ces travaux modifiaient considérablement la physionomie des rives et l’organisation des bras. Ils perturbaient fortement les activités économiques liées au fleuve. Les barrages, en entraînant l’envasement ou la diminution du niveau de l’eau dans les bras secondaires, rendaient impossible la pêche dont vivaient de nombreuses familles, le travail des artisans des boires nantaises et celui des gabarriers. Ils perturbaient l’équilibre des prairies humides des rives de la Loire et, donc, le travail des fermiers. Les villages bordant la Loire se disaient gênés par les digues latérales, qui les coupaient du chenal principal. Négociants et armateurs, qui avaient si vivement réclamé ces travaux, n’en étaient pas satisfaits pour autant : dans la partie centrale de l’estuaire, la profondeur du chenal après travaux ne dépassait pas trois mètres en mortes eaux46. Ce tirant ne correspondait plus aux besoins des bateaux dont la taille ne cessait d’augmenter. Ils réclamaient par ailleurs la démolition d’une digue barrant un chenal qu’ils souhaitaient continuer d’emprunter alors que Magin l’avait fait obstruer. </em></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><em>De tous côtés, des plaintes s’élevaient</em>. »</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Jean-Rodolphe Perronet fut mandaté pour inspecter les travaux et évaluer s’il y avait eu erreur. Il confirma les choix de son élève. Cela n’empêcha pas la Ville de Nantes de faire procéder à des destructions de certains aménagements sur son territoire… et les Etats de Bretagne remercièrent Michel-Alexandre Magin au profit de Groleau qui reprit les aménagements du balisage de l’Estuaire et améliora le port de Paimboeuf. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Cependant, durant son mandat, Michel-Alexandre Magin pu réaliser dans son intégralité le phare d’Aiguillon, avec une lanterne alimentée au bois, comme le montre un dessin à l’angle supérieur gauche de sa carte de 1757, dessin qui contredit l’affirmation qui prétend qu’avant 1830 et la pose d’un feu blanc fixe, Aiguillon n’aurait été d’un amer ! Affirmation qui ne tient pas à la lecture des journaux de bord des navires arrivant de nuit devant l’estuaire au cours de la seconde moitié du XVIIIe siècle. <u>Mais cette affirmation d’amer n’est pas totaleme<span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">nt infondée</span></u>. En effet, elle est née de la confusion avec la présence d’une « <em>tourelle </em>», qui était en fait une simple pille de maçonnerie, servant d’amer qui était placée non loin à l’emplacement de l’actuel blockhaus de la Pointe de Léve, construite sous le règne de Louis XIV pour servir de repère aux navires au moment où Nantes est entrée dans al traie négrière. Cette « <em>tourelle</em> » amer fut après la construction du phare d’Aiguillon remplacée pour servir de base à un sémaphore.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 12pt; color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif;"><a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/1417971660.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-6364920" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/01/694377826.jpg" alt="phare,aiguillon,saint-nazaire,magin,muichel-alexandre,1757,leve,estuaire,loire" /></a></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><em>Dessin du Phare d'Aiguillon en 1757</em></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 12pt; color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif;"><a style="color: #000000;" href="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/2413496732.jpg" target="_blank" rel="noopener"><img id="media-6364921" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/1379737393.jpg" alt="phare,aiguillon,saint-nazaire,magin,muichel-alexandre,1757,leve,estuaire,loire" /></a></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-size: 12pt; color: #000000; font-family: 'times new roman', times, serif;"><em>Le phare et la </em><span style="text-align: justify;">«</span><span style="text-align: justify;"> </span><em>tourelle </em><span style="text-align: justify;">»</span><em> d'amer </em></span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Fortement affecté par cette mésaventure, Michel-Alexandre se retira l’Académie de Marine en 1769 et ne participa plus à des travaux durant sept ans. On le retrouve en juin 1776 chargé d’effectuer des sondes et relèvements sur les côtes de France pour la nouvelle édition du <em>Neptune français</em>, ouvrage cartographique dont la première édition parue en 1693, fut voulue par Colbert. On retrouve ainsi notre ingénieur en juillet 1776 à Dunkerque, avec charge de procéder à des relevés sur les côtes depuis la Flandre jusqu’à la Normandie. Passant par le Ponthieu, il travailla à un projet d’assèchement du marais et des prairies inondables du Marquenterre en baie de Somme.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">Rappelé à Nantes au printemps 1777, il conduit et dirigea les travaux de construction des chaussées nécessaires à l’installation de la fonderie d’Indret, voulue par le ministre de la Marine Antoine de Sartine afin de répondre aux besoins en artillerie de la Marine. Le Gouvernement français avait pour cela fait venir le maître de forges anglais, William Wilkinson, (Backbarrow 1744 - 1808 Plas Grono) pour créer cette entreprise. Malheureusement Michel-Alexandre entra en conflit presque immédiatement avec Wilkinson, et il fut remplacé en septembre 1777 par l’ingénieur et architecte Pierre Toufaire, (1739-1794). </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"> </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;">En 1785, il exécute la carte de l’entrée de la rivière de Bordeaux, et meurt peu avant 1787.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"> </p><p> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-size: 12pt; font-family: 'times new roman', times, serif; color: #000000;"><a style="color: #000000;" href="#_ftnref1" name="_ftn1">[1]</a> Cf. Stéphane Durand, « <em>Le financement des travaux portuaires civils en pays d’états (XVIIe -XVIIIe siècles) </em>», in A. Conchond, David Plouviez et Eric Szulman, (dir.), Le financement des infrastructures de transport (XVIIe -XIXe siècle), colloque de Bercy, 23-24 juin 2016, Paris, Ed. de l’IGPDE.</span></p>
Loup
http://saint-nazaire.hautetfort.com/about.html
Poisson du vendredi...
tag:saint-nazaire.hautetfort.com,2022-06-11:6386477
2023-04-27T17:31:43+02:00
2022-06-11T02:57:00+02:00
Ce vendredi 11 juin 2022, la Mission des patrimoines de la Ville de...
<p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Ce vendredi 11 juin 2022, la Mission des patrimoines de la Ville de Saint-Nazaire a présenté une nouvelle mouture d’une conférence de 2013 intitulée, avec ironie, « <em>Saint-Nazaire avant Saint-Nazaire</em> ». Le titre, volontairement piquant, souligne le fait que durant trente années on nous a martelé que la ville serait sortie spontanément de terre en 1857avec la construction du Port.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Les trois intervenants nous ont fait une conférence dynamique et très bien documentée, s’appuyant sur des études récentes, des relevés patrimoniaux et le fond d'Ancien régime des archives municipales.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Il fut souligné que l’affirmation qui dit que Saint-Nazaire serait à l’origine « <em>un village de pécheur</em> » est infondée. En premier lieu, nous l’avons mainte fois écrit sur ce blog, Saint-Nazaire a statut de ville depuis le 14<sup>ème</sup> siècle, avec ses fortifications et la reconnaissance de la qualité juridique de « <em>bourgeois</em> » pour certains de ses habitants, et ayant de fait un gouverneur désigné par le souverain, qui au temps des Bourbon était commun aux villes de Guérande et du Croisic.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Il fut présenté durant cette conférence par madame Ouvrard, ancienne responsable des Archives municipales, les registres paroissiaux et les registres d'imposition. Madame Ouvrard a démontré, chiffres à l’appui, que les nazairiens ayant pour activité la pêche pouvait se compoter à chaque génération sur les doigts d’une main.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Nous apportons à la suite de cette démonstration un éclairage sur les raisons d’un si petit nombre de pêcheurs.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">En premier lieu il faut savoir qu’avant la Révolution, les Bretons ne consommaient pas de poisson de mer, ni de crustacé, car ces animaux se nourrissaient à l’occasion des cadavres des noyers. C’est une chose tellement acquise dans l’esprit des Bretons qu’à la suite du naufrage du Saint-Philibert, le 18 juin 1931, la population nazairienne refusa durant plusieurs années de consommer du poisson pêché dans la zone maritime de l’Estuaire, ruinant au passage plusieurs marins pêcheurs, et obligeant d’autres à aller jeter leurs filets à des centaines de kilomètres.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Mais alors, au temps de la monarchie, dans une Bretagne catholique pratiquante où la viande était proscrite chaque vendredi, comme cela se passait-il ? La réponse est simple : on consommait du poisson de rivière et de vivier. A Saint-Nazaire les quelques pêcheurs de la paroisse étaient ainsi des pêcheurs en rivière et vivier. </span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Deux seigneurs se partageaient des droits de pêche en eau vive : le vicomte de Saint-Nazaire et le seigneur d’Ust.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Les vicomtes percevaient la « <em>naulle</em> », qui était une taxe autorisant celui qui s’en était acquitté à poser des fillers le long des rives de la Loire dépendantes de la Vicomté de Saint-Nazaire.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Le seigneur d’Ust avait pour sa part le droit de se saisir d’un certain nombre de lamproies rapporté par les pêcheurs dans leurs filets.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Une autre technique de pêche constait dans le privilège d’écluses dans les cours d’eau. A Porcé, le seigneur du Bois Joilland, possesseur de la métairie noble de La Vecquerie, faisait pratiquer une pêche à l’épuisette réalisée en permettant aux poissons d’entré dans le ruisseau pour frayer, et en l’y bloquant ensuite par fermeture d’écluses.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Les autres seigneurs de la paroisse de Saint-Nazaire possédaient un ou des viviers. Ces plans d’eau étaient creusés à proximité du logis seigneurial. La possession d’un vivier était, comme celle des hautes futaies, un privilège réservé à la noblesse et aux abbayes. Les seigneurs en tiraient des revenues par le nombre de poissons qui en étaient retirés. La pêche en vivier s’accomplissait au filet jeté et ramené par les pêcheurs, et une fois par ans par une vidange du vivier. Comme baron de Marsain, le vicomte de Saint-Nazaire en avait un proche de son château de Marsain.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">La famille Le Pennec du Bois Joilland, en plus des écluses de Porcé, possédait ainsi trois viviers devant son manoir du Bois Joalland, et deux autres à proximité de ses métairies nobles de la Chaponnerie et du Préhembert.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">La famille de Rohan en avait deux près de son manoir d’Heinlex.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">La famille de Kerkabus en avait un, ayant la particularité d’être dallé, devant son manoir de Heinlex-Pommeraye</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">La famille de La Haye du Sable, avait un petit vivier, dit « <em>étang du Sable</em> » qui devient un lavoir au 19<sup>e</sup> siècle, (à l’emplacement de l’avenue de Vera Cruz), et deux autres à proximité de leur château seigneurial de la Motte Allemand, dont l’un était alimenté par un canal.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">La famille du Mas d’Armanjo en avait trois : prêt de son manoir d’Armanjo, et autre à Lesnaus, et un dernier constitué dans un étang à Guindreff.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">La famille Guerriff de Louane en avait un grand vivier rectangulaire dans les limites du domaine de sa maison noble de Beauregard.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Le famille Le Guennec de Kerlédé, en avait un proche de la métairie de La Noë de Kerlédé, plus une petite retenue d'eau constituée par une écluse sur le ruisseau de la Coulée du Bois, toute proche du vivier cité (cette petite retenue d'eau sera à la fin du 19ème siècle le plan d'eau de la guinguette de Kerbrun).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">La famille de Le Pourceau de Rolivault en avait un proche de son château de Cleuz.</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">La famille Hémery, en avait un à proximité de ses manoir et métairie de Préambert (Pré-Hembert).</span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Etc., etc…</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">La plus part de ces viviers on disparut à la Révolution. L’abolition des droits seigneuriaux, la saisi et la vente des biens de l’Eglise, des émigrés, et la guerre-civile qui ravagea le territoire provoquèrent la fin de l’usage des viviers. La consommation des poissons de mer se généralisa, créant un besoin et engendrant la création de l’activité de marin pêcheur. Le cadastre de 1829 ne garde que quelques traces des viviers seigneuriaux.</span></p><p style="text-align: justify;"> </p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6364439" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/00/3963392752.png" alt="saint-nazaire- vivier pecheur,peche,poisson" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6364440" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/02/2518517165.png" alt="saint-nazaire- vivier pecheur,peche,poisson" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6364441" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/01/3268118452.png" alt="saint-nazaire- vivier pecheur,peche,poisson" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6364444" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/02/3831108349.png" alt="saint-nazaire- vivier pecheur,peche,poisson" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6364442" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/4126800059.png" alt="saint-nazaire- vivier pecheur,peche,poisson" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6364447" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/01/2374397229.png" alt="saint-nazaire- vivier pecheur,peche,poisson" /></span></p><p style="text-align: center;"><img id="media-6365598" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/00/02/399619714.jpg" alt="saint-nazaire- vivier pecheur,peche,poisson" /></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6364443" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/01/00/2318710509.png" alt="saint-nazaire- vivier pecheur,peche,poisson" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6364445" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/719629021.png" alt="saint-nazaire- vivier pecheur,peche,poisson" /></span></p><p style="text-align: center;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;"><img id="media-6364446" style="margin: 0.7em 0;" title="" src="http://saint-nazaire.hautetfort.com/media/02/02/366955099.png" alt="saint-nazaire- vivier pecheur,peche,poisson" /></span></p><p style="text-align: justify;"><span style="font-family: 'times new roman', times, serif; font-size: 12pt; color: #000000;">Au 21<sup>ème</sup> sicle la consommation de poisson de vivier ou de rivière est devenue infime.</span></p><p> </p>